Étiquette : Unesco
le pont du Gard – vidéo
Patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco dans le Gard
C’est au sens propre la classe internationale. Déjà doté de plus de 500 édifices classés ou protégés, le Gard abrite 3 lieux d’exception, élevés au rang de Patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco : le Pont du Gard, l’Abbaye de Saint-Gilles et les grands espaces des Causses et Cévennes. Sans oublier les gorges du Gardon qui ont intégré en 2015 le Club des Réserves mondiales de Biosphère de l’Unesco. À voir absolument ! À tout seigneur tout honneur, le Pont du Gard est le joyau du département, la pièce maîtresse qui ne cesse de surprendre. Le monument antique, inscrit au Patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco depuis 1985, vous donnera tout simplement une idée du génie créateur humain. Construit il y a 2000 ans, le Pont du Gard est le plus important vestige de l’aqueduc romain de 52 km qui transportait l’eau aux 20000 Nîmois de l’époque, depuis la source d’Eure, près d’Uzès. Au-dessus du Gardon et en pleine garrigue, il vous étonnera par ses proportions et sa légèreté malgré un volume équivalent à celui de la Tour Eiffel. Le Pont du Gard, qui accueille aussi de nombreux événements, s’inscrit de plus dans un site culturel très complet avec musées sur 2500 m2, espace interactif pour les enfants et parcours découverte de l’environnement.
L’abbaye de Saint-Gilles est classée depuis 1998 au Patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco, au titre d’étape sur les chemins de Saint Jacques de Compostelle. Cette église du XIIème siècle était au Moyen-Âge un des principaux lieux de pèlerinage chrétiens. Vous serez tout d’abord frappés par les multiples saynètes de la façade romane sculptée et soulignée par d’étonnantes portes rouges. À l’intérieur, la nef de 50 mètres de long et la crypte monumentale s’imposeront à vous. Enfin, vous observerez avec émotion la prousse des courbes de l’escalier hélicoïdal qui émerge des vestiges de l’ancien chœur, aujourd’hui devenu une sorte de jardin romantique à ciel ouvert.
Les Causses et les Cévennes, inscrits en 2011 au Patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco au titre de “paysage culturel de l’agro-pastoralisme méditerranéen”, s’étendent sur plus de 300 000 hectares. Sur ce territoire fascinant, fait de plateaux battus par les vents, de vallées escarpées et de sommets émoussés, c’est tout l’apport des élevages ovins, caprins et bovins qui est désormais reconnu. Cet agro-pastoralisme millénaire et toujours préservé a en effet profondément modifié le paysage, le traçant de drailles, ces sentiers de transhumance, ou le parsemant d’un patrimoine bâti unique. Où que vous y soyez, vous serez inévitablement plongés dans un monde hors du commun, connectés avec la magie profonde du Gard.
Enfin c’est officiel depuis le mardi 9 juin 2015 : les gorges du Gardon ont intégré le Club des Réserves mondiales de biosphère de l’Unesco. Une reconnaissance internationale de la valeur et de la biodiversité du paysage méditerranéen. Il appartient désormais au Syndicat mixte des gorges du Gardon (SMGG), et à l’ensemble des acteurs locaux de mener à bien des actions de préservation, d’éducation et de recherche afin que la connaissance de la zone cœur du territoire soit améliorée et que les choix effectués dans les zones tampon et de transition, en matière d’activités humaines, soient respectueuses de la biodiversité de la zone cœur.
(re) voir le portail de Saint Trophime d’Arles
EXTRAIT
Un magnifique ouvrage collectif propose une lecture artistique et théologique du tympan de la cathédrale Saint-Trophime d’Arles. Un guide idéal pour redécouvrir ces sculptures romanes d’exception à l’occasion des Journées du patrimoine.
Les restaurations sont de belles occasions pour mieux connaître les monuments. À Arles, l’intervention de grande ampleur autour de la cathédrale Saint-Trophime – qui s’est échelonnée du milieu des années 1980 à 1996 – a fourni aux historiens d’art l’occasion d’étudier de manière exhaustive le programme iconographique exceptionnel de sa superbe façade romane du XIIe siècle
Un Christ « un, immobile, inaccessible »
L’ensemble dégage une impression de grande stabilité. « Parmi les nombreuses représentations romanes du Seigneur, le Christ d’Arles est un de ceux qui agissent le moins. Il est le Dieu qui est, éternellement, maître du monde et de la création, concentrant en sa personne tous les signes de la royauté : la couronne, le manteau, l’élévation du marchepied, le globe », indique l’historienne de l’art Dominique Rigaux.
« Tout concourt à magnifier celui qui trône depuis l’origine, « un, immobile, inaccessible » », insiste l’historienne. « L’image du Fils s’efface devant celle du Père, le Sauveur devant le Créateur ».
Si ce Christ dégage un sentiment d’intemporalité, il n’en est pas moins un vivant. Les tailleurs de pierre virtuoses lui ont insufflé vie en travaillant avec délicatesse sa longue tunique. Un souffle frémissant anime les plis de son manteau, soyeux et ondulants.
Une méditation sur la béatitude éternelle
L’ensemble de la composition converge vers ce Christ en gloire, entouré des symboles des quatre évangélistes. Le registre inférieur du tympan est consacré au destin des élus et des damnés. Les premiers s’avancent calmement en procession régulière, unis par un geste fraternel : chacun pose la main sur l’épaule de celui qui le précède. De l’autre côté, les damnés sont soudés par une lourde chaîne. Leurs jambes se confondent avec les flammes de l’enfer.
À Arles, l’essentiel ne réside pas dans le jugement, mais dans la Révélation. « Le portail de Saint-Trophime nous donne à voir l’actualité de l’éternité. Ce qui importe, ce n’est pas tant le moment du jugement que son résultat : la contemplation de Dieu » par les élus, note Dominique Devaux
Une vision paisible du jugement
Dans ce tympan, l’enfer se fait d’ailleurs très discret ! Il se réduit même à sa plus simple expression : Satan et un lac de feu sur lequel flotte la barque des réprouvés, conduite par un démon. La faute d’Adam et Ève n’est évoquée qu’en marge. L’expulsion du paradis terrestre n’est pas représentée.
De plus, élus et damnés ne sont pas franchement séparés : il suffirait à Ève de se retourner pour se retrouver dans la file des sauvés. Un détail qui rappelle l’appel, toujours renouvelé, à la conversion…
Pour traiter de l’avenir des justes, les médiévaux ont choisi de miser sur la délicatesse et la tendresse. Conduits par les anges, les élus sont accueillis, deux par deux, sur les genoux des trois patriarches (Abraham, Isaac et Jacob) qui les entourent de leurs bras avec douceur et affection.
Tout autour du tympan, les anges, mains largement ouvertes, appellent à la résurrection. La jubilation du salut est particulièrement visible dans le traitement des visible dans le traitement des trois anges musiciens, figures dynamiques et gracieuses avec leurs mèches tressées et leurs larges ailes déployées. Ils font le grand écart au sommet de l’archivolte, sonnant avec ardeur les trompettes de la résurrection.
en savoir un peu plus : (1) Le portail Saint-Trophime d’Arles, Actes Sud/Ville d’Arles/World Monument Fund, 166 p., 32 €. Un autre ouvrage, toujours chez Actes Sud, est consacré au cloître de l’église.
pas très loin…. https://lesudmakesmehappy.com/wp-admin/post.php?post=2585&action=edit
dans le Gard, un Patrimoine romain d’exception!
Je vous accompagne à la découverte de cet héritage antique hors du commun…si,si, je pèse mes mots! Venez et vous verrez (Veni, Vidi!)
Découvrons : la maison Carrée pas si carrée tout de meme! Un des temples les mieux conservés de l’époque Romaine (entrée non incluse) ou encore la porte Auguste, vestige des remparts romains et le Jardin de la Fontaine jadis Augusteum, sans oublier l‘amphitheatre communément appelé les Arènes…bref il y a de quoi s’occuper!
Continuation vers le fameux site du Pont du Gard ! Classé au Patrimoine Mondial de l’UNESCO, il est la partie la mieux conservée de l’aqueduc romain qui alimentait en eau potable la ville de Nîmes.Visite guidée sur le site et Temps libre pour découvrir le musée consacrée à la construction du Pont.
Nîmes et le Pont du Gard (Gard)
Nîmes et le Pont du Gard (Gard)
La présence romaine a laissé des traces remarquables à Nîmes : des arènes, un temple nommé Maison Carrée, un vestige de remparts appelé tour Magne… Non loin de la ville, on est saisi par la vue qu’offre le Pont du Gard, qui enjambe la rivière Gardon et est environné de garrigue et de bois de chênes verts. Cet aqueduc, comme nombre d’autres sites antiques de la région, est très bien conservé.
Les 3 choses incontournables à faire à Avignon
Visiter Avignon : quelles sont les meilleures choses à faire et voir lors d’un séjour dans la Cité des Papes ?
Avignon est une ville du sud de la France située au confluent du Rhône et de la Durance. C’est la plus grande ville et la préfecture du département du Vaucluse. Sa situation privilégiée aux portes de la Provence et son climat méditerranéen ne sont pas ses seuls attraits. En effet, elle possède un riche patrimoine historique qui lui a permis d’être classée au Patrimoine Mondial de l’Unesco en 1995. Surnommée la “Cité des Papes”, en raison de la présence des représentants de l’Eglise de 1309 à 1423, elle offre à ses visiteurs de nombreux témoignages du passé mais aussi une richesse culturelle, à travers notamment le Festival d’Avignon.
Alors que faire à Avignon ? Que ce soit le temps d’un weekend ou pour quelques jours, suivez le guide pour visiter Avignon sans rien manquer de ses incontournables !
1. Découvrir le Palais des Papes
Lieu emblématique par excellence de la ville, le Palais des Papes est un lieu incontournable à découvrir lors d’une visite d’Avignon !
Édifiée en 1315, la Résidence pontificale, à la fois forteresse et Palais, fut pendant le 14ème siècle, le siège de la chrétienté d’Occident. Six conclaves se sont tenus dans le Palais d’Avignon. Ils aboutirent à l’élection de 6 papes dont Benoit 12 en 1335.
Le Palais des Papes est la plus grande des constructions gothiques du Moyen-Age. Il est classé depuis 1995, au Patrimoine Mondial de l’Unesco. Plus de 650 000 visiteurs se pressent chaque année pour découvrir cet édifice, faisant ainsi partie des 10 monuments les plus visités en France. Vous pourrez y découvrir plus de 20 espaces différents, dont les appartements privés du Pape, décorés de fresques de l’artiste italien Matteo Giovanetti. Cerise sur le gâteau, les terrasses et remparts offrent des vues exceptionnelles sur la ville.
2. Danser sur le Pont d’Avignon
Le Pont Saint Bénezet, plus connu sous le nom de “Pont d’Avignon” à travers une célèbre chanson, fait lui aussi partie des choses à faire à Avignon. La petite histoire remonte au 19ème siècle, lorsque les Avignonnais avaient pour habitude de se rendre dans des guinguettes au bord du Rhône et formaient alors de joyeuses rondes sous le pont.
Édifié de 1177 à 1185, par un berger ardéchois nommé Bénezet, il ne reste aujourd’hui que 4 arches sur les 22 d’origine. En effet, après de nombreuses reconstructions suite aux guerres et aux inondations, les caprices du Rhône eurent finalement raison de l’édifice en 1669. Il est de nos jours classé Patrimoine Mondial de l’Unesco et quelques 400 000 visiteurs viennent y “danser” chaque année. Il se visite à pied et offre un magnifique panorama sur le Palais des Papes.
3. Visiter un des nombreux musées d’Avignon
Il n’y a pas que le Palais des papes à visiter à Avignon ! La ville possède en effet plusieurs musées de grand intérêt qui raviront les goûts et envies de chacun.
Le Musée Calvet, principal musée de la ville, se situe au sein d’un hôtel particulier du 18ème siècle. Il réunit de nombreuses collections de peintures, sculptures, dessins, arts décoratifs et ethnologie d’Asie, Océanie et Afrique.
Le Musée du Petit Palais, se trouve lui, au bout de la Place du Palais des Papes. Il propose une belle collection de primitifs italiens avec 325 peintures de plus de 130 artistes. Vous trouverez notamment la Vierge à l’enfant de Botticelli ou l’Ange de l’Annonciation de San di Pietro.
La Collection Lambert présente des expositions temporaires d’art contemporain. La galerie porte le nom du collectionneur et se situe dans une riche demeure du 18ème siècle (Hôtel Caumont).
Il y a toujours de bonnes raisons pour aller à Arles cet hiver!
Il y a des villes qui se livrent l’hiver…Arles en fait partie.
C’est le moment révé pour flaner dans les rues et partir à la découverte de cette belle cité que j’affectionne. C’est le moment de venir apprécier les vestiges gallo-romains : l’amphithéatre, le theatre antique, les thermes de Constantin et les impressionnantes cryptoportiques.
Mais ce n’est pas tout : direction l’Hotel Dieu, un havre de paix et une première rencontre avec un hote illustre : Van Gogh dont j’aurai l’occasion de vous reparler; le fameux autoportrait de ” l’homme à l’oreille bandée”, ca vous parle?
Vous n’etes pas encore rassasié…. il y a ce magnifique portail de la Cathedrale Saint Trophime : un regal pour nos yeux, l’élégante façade de l’hotel de ville et la charmante place aux hommes sur laquelle trone la statue de F.Mistral. On termine par une balade atypique le long des quais du Rhone, ca vous dit? pour avoir une autre vision de la ville et on comprend que ce fleuve, le Rhone a façonné le developpement urbain et économique de la ville
http://www.patrimoine.ville-arles.fr/index.php?action=edifice&id=37
A-t-on vraiment dansé sur le pont d’Avignon?
Et oui, nous connaissons tous ce Pont d’Avignon…..du moins nous connaissons tous la chanson qui célèbre ce pont et nous connaissons un peu moins l’histoire de ce bâtiment dont le chantier débuta au 12 eme siècle qui pourtant est un témoin majeur de l’histoire d’Avignon.
Le pont d’Avignon ou Pont Saint Bénézet (petit Benoit) est l’un des monuments les plus connus au monde grâce à sa chanson chantée par les enfants de tous les pays.
Encore aujourd’hui il y a beaucoup de mystères qui entourent la construction du pont….on raconte qu’ un jeune berger, du nom de Bénezet, descendit en 1177 des montagnes de l’Ardèche. Il se disait envoyé par Dieu pour construire un pont à Avignon. Au début, on le prit pour un fou, mais il avait entendu une voix venue du ciel lui dictant sa mission…
Raillé par les Avignonnais, le berger est mis au défi par le prélat de charger une pierre énorme sur ses épaules et de la jeter dans le Rhône. Bénezet n’hésite pas un instant, et sous le regard de la foule ébahie, soulève le bloc de pierre avant de le jeter dans l’eau, aidé dit-on par une intervention divine, et même par des anges baignés d’une lumière dorée.
Cette belle légende de Saint Bénezet est passée dans la ferveur populaire, car la construction du pont a représenté un défi aux éléments et à permis de “dompter” le fleuve, en y laissant, quand même, au passage quelques arches…
Ah oui, j’oubliais…on n’a jamais dansé sur le pont mais plutôt sous le pont, c’est a dire sur les berges du Rhône et plus particulièrement sur l’ile de la Barthelasse, ilot des brigands, parias et prostituées! Quelle réputation!
Du vin et du Vent au Ventoux! 1/2
Waouh! la vue sur le Ventoux nous coupe le souffle….nous confirmons, il en impose ce Géant de Provence, culminant à 1912 mètres d’altitude. Montagne mythique pour les uns, tant redoutée par d’autres (pauvres cyclistes!), il reste un lieu d’observation privilégié des scientifiques et, le saviez-vous, sa spécificité et sa richesse naturelle ont été reconnues par l’UNESCO, qui a classé le Mont-Ventoux en réserve de biosphère. Félicitations!
Pour ma part, je n’ai aucun mérite, ce n’est pas en vélo que j’ai abordé le Ventoux mais en voiture! De son sommet, la vue y est époustouflante! On découvre l’un des plus vaste panorama d’Europe, dominant la Vallée du Rhône, les Baronnies et le plateau du Vaucluse. Bref, un panorama à nous couper le souffle. Vu d’en haut, ces villages de Provence ressemblent tous à un village de crèche : villages perchés dont les pierres ont été patinées par le temps et le soleil, avec comme toile de fond, les vignobles.
Mais profitons de l’air frais pour déguster quelques produits du terroir achetés au marché de Sault, de quoi organiser une petite halte gourmande : fromages de chèvre en pavé, en bûche ou en pyramide, huile d’olive, miels et confitures et panier de fraises! Nos papilles n’en reviennent pas et nos yeux, non plus!
Balade gourmande à Avignon, Provence
à quelques mètres de l’austère Palais des Papes, rendez vous aux Halles d’Avignon, belle institution dynamique et grand marché provençal avec une quarantaine de commerçants; ambiance authentique, produits de qualité, professionnels intarissables….bref, venir aux halles, c’est découvrir la Provence coté gourmand.
mais ce n’est pas tout….profitons d’être en ville pour aller rencontrer d’autres artisans et de goûter certaines spécialités très provençales.
Cette balade d’environ trois heures ravivera vos papilles et réchauffera votre coeur!
coté pratique : visite guidée, uniquement le matin du mardi au samedi, comprend une dégustation de vin, d’huile d’olive et d’autres produits du terroir.
tarif environ 50 euro/personne
Visite d’Avignon
Le Palais des Papes est le symbole du rayonnement de l’Eglise sur l’Occident Chrétien au XIVème siècle. Edifié à partir de 1335, en moins de vingt années, il est l’œuvre principalement de deux papes bâtisseurs, Benoît XII et son successeur Clément VI.
Avignon présente un paysage urbain grandiose : dominant la Cité et le Rhône, le Rocher des Doms offre un ensemble monumental exceptionnel constitué du Pont saint Bénezet, des Remparts, du Petit Palais, de la Cathédrale des Doms et des murailles impressionnantes flanquées des quatre tours gigantesques du Palais des Papes.
Cet ensemble architectural unique est classé par l’UNESCO : « Patrimoine mondial de l’humanité ». C’est le plus grand palais gothique : 24 salles à visiter !
Visite des Six sites classés inscrits au patrimoine de l’Unesco en Languedoc Roussillon
Le Languedoc-Roussillon offre au visiteur six sites majeurs inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco.
Sites hors du commun, d’une valeur exceptionnelle, préservés pour l’humanité et pour les générations à venir, découvrez le Pont du Gard, les Causses et Cévennes, le Canal du Midi, les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, la cité fortifiée de Carcassonne ou les forteresses Vauban