Les goûts et les saveurs de la garrigue seront à l’honneur avec le marché méditerranéen, les dégustations et le fameux pique-nique fermier.
. Un marché de producteurs dans la montée de Mémoires de garrigue avec des jus de fruits, vins, fromages, confitures et produits de saison.
De 10h à 18h, dans la montée de Mémoires de garrigue
. Le pique-nique fermier : A l’ombre des chênes verts, au pied des oliviers, installez-vous au gré de vos envies… N’oubliez pas de réserver votre panier pique-nique auprès de Bienvenue à la ferme et sur www.tourismegard.com
Participation de 17€ par personne.
Pique-nique à Garrigue en fête (EPCC PONT DU GARD)
LES BELLES NUITS D’ETE Retrouvez tous les soirs du 4 juillet au 30 août de 22h30 à 23h00, le spectacle son et lumière “A la belle étoile”. Profitez d’un moment de magie et de contemplation entre amis ou en famille à la nuit tombée. INFOS PRATIQUES : Pour assister à ces nuits « à la Belle Etoile», les meilleures places sont sur la plage. Vous pourrez aussi assister au spectacle depuis la terrasse du restaurant, rive droite. DATES & HORAIRES : Du 4 juillet au 30 août 2020 à 22h30 DUREE : 30 minutes Tarifs nocturne à partir de 20h00 l’été : 5€ / adulte 3€ / tarif réduit (étudiant, demandeur d’emplois, PMR, famille nombreuse, RSA – spectacle compris dans le tarif d’entrée jour)
L’église d’Arles est l’une des plus anciennes de Gaule. A l’époque de Césaire (470-542) alors qu’Arles est devenue la capitale administrative des Gaules, la ville atteint son apogée grâce à la personnalité exceptionnelle de Césaire, évêque et futur vicaire du Pape en Gaule. A sa mort, il devient l’un des grands saints vénérés à Arles. De cette notoriété sont parvenues jusqu’à nous des reliques d’une valeur historique inestimable. Ces ornements d’unevaleur exceptionnelle sont exposés dans le cloitre Saint Tromphime et attestent du minutieux travail de restauration.
Un magnifique ouvrage collectif propose une lecture artistique et théologique du tympan de la cathédrale Saint-Trophime d’Arles. Un guide idéal pour redécouvrir ces sculptures romanes d’exception à l’occasion des Journées du patrimoine.
Les restaurations sont de belles occasions pour mieux connaître les monuments. À Arles, l’intervention de grande ampleur autour de la cathédrale Saint-Trophime – qui s’est échelonnée du milieu des années 1980 à 1996 – a fourni aux historiens d’art l’occasion d’étudier de manière exhaustive le programme iconographique exceptionnel de sa superbe façade romane du XIIe siècle
Un Christ « un, immobile, inaccessible »
L’ensemble dégage une impression de grande stabilité. « Parmi les nombreuses représentations romanes du Seigneur, le Christ d’Arles est un de ceux qui agissent le moins. Il est le Dieu qui est, éternellement, maître du monde et de la création, concentrant en sa personne tous les signes de la royauté : la couronne, le manteau, l’élévation du marchepied, le globe », indique l’historienne de l’art Dominique Rigaux.
« Tout concourt à magnifier celui qui trône depuis l’origine, « un, immobile, inaccessible » », insiste l’historienne. « L’image du Fils s’efface devant celle du Père, le Sauveur devant le Créateur ».
Si ce Christ dégage un sentiment d’intemporalité, il n’en est pas moins un vivant. Les tailleurs de pierre virtuoses lui ont insufflé vie en travaillant avec délicatesse sa longue tunique. Un souffle frémissant anime les plis de son manteau, soyeux et ondulants.
Une méditation sur la béatitude éternelle
L’ensemble de la composition converge vers ce Christ en gloire, entouré des symboles des quatre évangélistes. Le registre inférieur du tympan est consacré au destin des élus et des damnés. Les premiers s’avancent calmement en procession régulière, unis par un geste fraternel : chacun pose la main sur l’épaule de celui qui le précède. De l’autre côté, les damnés sont soudés par une lourde chaîne. Leurs jambes se confondent avec les flammes de l’enfer.
À Arles, l’essentiel ne réside pas dans le jugement, mais dans la Révélation. « Le portail de Saint-Trophime nous donne à voir l’actualité de l’éternité. Ce qui importe, ce n’est pas tant le moment du jugement que son résultat : la contemplation de Dieu » par les élus, note Dominique Devaux
Une vision paisible du jugement
Dans ce tympan, l’enfer se fait d’ailleurs très discret ! Il se réduit même à sa plus simple expression : Satan et un lac de feu sur lequel flotte la barque des réprouvés, conduite par un démon. La faute d’Adam et Ève n’est évoquée qu’en marge. L’expulsion du paradis terrestre n’est pas représentée.
De plus, élus et damnés ne sont pas franchement séparés : il suffirait à Ève de se retourner pour se retrouver dans la file des sauvés. Un détail qui rappelle l’appel, toujours renouvelé, à la conversion…
Pour traiter de l’avenir des justes, les médiévaux ont choisi de miser sur la délicatesse et la tendresse. Conduits par les anges, les élus sont accueillis, deux par deux, sur les genoux des trois patriarches (Abraham, Isaac et Jacob) qui les entourent de leurs bras avec douceur et affection.
Tout autour du tympan, les anges, mains largement ouvertes, appellent à la résurrection. La jubilation du salut est particulièrement visible dans le traitement des visible dans le traitement des trois anges musiciens, figures dynamiques et gracieuses avec leurs mèches tressées et leurs larges ailes déployées. Ils font le grand écart au sommet de l’archivolte, sonnant avec ardeur les trompettes de la résurrection.
en savoir un peu plus : (1) Le portail Saint-Trophime d’Arles, Actes Sud/Ville d’Arles/World Monument Fund, 166 p., 32 €. Un autre ouvrage, toujours chez Actes Sud, est consacré au cloître de l’église.
Visite du site archéologique a pied et en drone. Traversé par la plus ancienne route construite à l’époque romaine, la Via Domitia, et situé sur les berges du Vidourle, le site archéologique d’Ambrussum offre aux amoureux de vieilles pierres un paysage envoûtant empreint d’histoire. Le site d’Ambrussum incite le visiteur à découvrir le pont Ambroix, les vestiges d’anciennes habitations, d’un édifice public et d’un Oppidum classé au titre des Monuments Historiques. On peut également observer la voie pavée, artère principale de l’Oppidum.
Le peintre Hubert Robert (1733-1808), réalisa de nombreux tableaux inspirés par la poésie des ruines antiques, tel le Pont du Gard en 1787 (Musée du Louvre).
Hubert Robert est un peintre d’architecture et de paysages, né à Paris en 1733, mort à Paris en 1808. De bonne famille bourgeoise, il fit de solides humanités au collège de Navarre, ou il compta parmi les meilleurs élèves de l’abbé Batteux. Nourri de bonne heure dans l’amour des lettres et de l’Antiquité, il passa des bancs de l’école dans l’atelier du sculpteur Michel-Ange Slodtz; mais il y apprit surtout à dessiner, négligeant la sculpture, et partageant ses goûts entre la peinture, l’archéologie et l’histoire.
Peintre-archéologue, voilà ce que fut Hubert Robert, et ce qu’il voulut être dès ses premiers pas dans la carrière. De 1753 à 1765, il parcourut l’Italie, recueillant des documents, prenant force croquis d’après nature, et enrichissant ses cartons d’une collection abondante d’esquisses pittoresques qui devaient plus tard alimenter sa verve. On était en plein enthousiasme de l’Antiquité romaine, lorsque Robert rentra à Paris. Déjà connu des amateurs et des artistes par les dessins qu’il avait envoyés, il eurent tout de suite la faveur du public.
Monument antique le plus visité de France, aqueduc classé par l’Unesco, le Pont du Gard est l’un des vestiges romains les mieux conservés au monde.
Situé en Occitanie, entre Nîmes, Uzès et Avignon, cette merveille de l’Antiquité est une prouesse technique avec ses dimensions hors normes mais aussi un site magique redevenu naturel depuis son réaménagement dans les années 2000.
49 metres
C’est la hauteur de ce pont-aqueduc construit par les Romains au 1er siècle de notre ère, un record pour l’époque ! Il reste aujourd’hui le seul exemple de pont antique à 3 étages encore debout avec une triple rangée d’arcades superposées : 6 arches au niveau inférieur, 11 au deuxième et 35 au troisième.
50 kilomètres
Le pont faisait partie de l’aqueduc romain qui conduisait l’eau d’Uzès à Nîmes : 50 kilomètres de canalisations traversant la garrigue ou enfouies sous la terre sauf au passage du Gardon. Il fallut enjamber la rivière en construisant cet ouvrage long de 273 mètres aujourd’hui dans sa partie supérieure (360 à l’origine avec 12 arches supplémentaires).
2 000
L’an 2000 marque le début d’une autre histoire pour le Pont du Gard. Utilisé jusqu’au VIe siècle, puis péage au Moyen Âge, il fut pont routier du XVIIIe au XXe siècle. Une Opération Grand Site engagée en 2000 lui a rendu son cadre primitif, sans circulation automobile ni les constructions qui avaient proliféré alentours.
4500 m2 de musée
Un superbe espace muséographique enterré, sur la rive gauche du Pont, retrace de manière ludique et pédagogique l’histoire passionnante de la construction de l’aqueduc et sa fonction dans le mode de vie à l’époque romaine. Au total, 4 500 m2 pour se cultiver, à grand renfort de films, expos, reconstitutions virtuelles…
« Par bonheur pour le plaisir du voyageur né pour les arts, de quelque côté que sa vue s’étende, elle ne rencontre aucune trace d’habitation, aucune apparence de culture : le thym, la lavande sauvage, le genévrier, seules productions de ce désert, exhalent leurs parfums solitaires sous un ciel d’une sérénité éblouissante. L’âme est laissée tout entière à elle-même, et l’attention est ramenée forcément à cet ouvrage du peuple-roi qu’on a sous les yeux ». Stendhal / Mémoires d’un touriste /1837
« Le site sauvage, la solitude complète du lieu, le bruit du torrent ajoutaient une poésie sublime à l’architecture imposante qui s’offrait à mes yeux ». Mérimée / Notes d’un voyage dans le Midi de la France / 1835
« Tout à coup nous aperçûmes au-dessus du feuillage sombre des chênes verts et des oliviers, se détachant sur un ciel bleu, deux ou trois arches, à teinte chaude et jaunâtre : c’était la tête du géant romain. Nous continuâmes d’avancer, et au premier coude que fit la montagne, nous l’embrassâmes dans tout son ensemble, à cent pas à peu près de nous ». « Il est impossible de se faire une idée de l’effet produit par cette chaîne granitique qui réunit deux montagnes, par cet arc-en-ciel de pierre qui remplit tout l’horizon, par ces trois étages de portiques qu’ont splendidement dorés dix-huit siècles de soleil. J’ai vu quelques-unes des merveilles de ce monde » Alexandre Dumas / Midi de la France / 1837-1841
« J’accordai toute mon attention à cette grandiose construction. On s’en approche de très près avant de la voir : le ravin qu’il enjambe s’ouvre brusquement et découvre le spectacle, qui devient alors d’une extrême beauté ». Henry James / Voyage en France / 1877
“Après un déjeuner d’excellentes figues, je pris un guide et j’allai voir le Pont du Gard. C’était le premier ouvrage des Romains que j’eusse vu. Je m’attendais à voir un monument digne des mains qui l’avaient construit. Pour le coup, l’objet passa mon attente et ce fut la seule fois de ma vie. Il n’appartenait qu’aux Romains de produire cet effet. L’art de ce simple et noble ouvrage me frappa d’autant plus qu’il est au milieu d’un désert où le silence et la solitude rendent l’objet plus frappant et l’admiration plus vive, car ce prétendu pont n’était qu’un aqueduc. On se demande quelle force a transporté ces pierres énormes si loin de toute carrière et a réuni les bras de tant de milliers d’hommes en un lieu où il n’en habite aucun. Je parcourus les trois étages de ce superbe édifice que le respect m’empêchait presque d’oser fouler sous mes pieds… Le retentissement de mes pas sous ces immenses voûtes me faisait croire entendre la voix de ceux qui les avaient bâties. Je me perdais comme un insecte dans cette immensité. Je sentais, tout en me faisant petit, je ne sais quoi qui m’élevait l’âme et je me disais : “Que ne suis-je Romain !”
Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions, I ère partie, Livre VI.
Située sur la rive droite de l’Aude, la Cité, la cité est un village médiéval encore habité qui compte 52 tours et 2 enceintes concentriques qui totalisent 3km de remparts. Profitez de mes visites guidées tout au long de l’année en journée et en soirée l’été! la magie est au rendez-vous!
L´architecture de l´aqueduc de Nîmes a révolutionné les techniques de construction. Emblématique de l´ingénierie romaine, vers 50 Av. J-C, il a amélioré la qualité de vie des habitants de la cité en supportant la canalisation d´eau sur 50 km et en acheminant des millions de litres d´eau pour assainir la ville. De nombreuses fontaines, des thermes, de magnifiques jardins et de riches demeures ont été créés. L´aqueduc apparaît comme un ouvrage significatif des qualités des bâtisseurs romains, en raison de ses dimensions exceptionnelles et surtout de sa remarquable conservation. Des spécialistes ont remonté les étapes de sa construction pour percer les secrets du génie scientifique romain.
L’armée romaine disposait d’une main d’oeuvre très importante pour la réalisation de ses camps , mais aussi pour la réalisation des ouvrages civils édilitaires ( aqueducs, routes, conduites, ponts, canaux,….). Correctement employée, la force humaine pouvait rapidement édifier des structures relativement imposantes, à l’instar des camps de marche, réalisés par les légionnaires à chaque halte nocture où construits à proximité d’un champ de bataille. Toutefois, la force musculaire humaine n’a pas pu à elle seule construire des édifices monumentaux tels que le Colisée à Rome ou les thermes de Caracalla. A un moment de la construction, dès que les fondations étaient terminées et que l’ouvrage commençait à dépasser la taille humaine, les romains devaient nécessairement employer des machines de levage.
Les découvertes archéologiques lapidaires et murales permettent aujourd’hui aux archéologues de reconstituer la machine de levage par excellence : la chèvre à treuil actionnée par une roue à échellier ( tympanum)
Nous connaissons les formes et tailles globales de cette machine par plusieurs reliefs et peintures
– Une peinture murale orignaire de Stabies – Le relief du sarcophage des Haterii conservé aujourd’hui au musée du Vatican
La chêvre est composée de deux poutres fermement reliées ensemble à une de leurs extrémités respectives afin de former un triangle. Au bout de ce triangle était suspendu un palan chargé de démultiplier la force de levage de l’objet concerné. Pour pouvoir actionner cette chevre, une roue creuse de démultiplication était actionnée par des hommes placés à l’intérieur ( Un peu comme le principe de la souris qui tourne dans une roue) . Tout un ensemble de palans et de treuils permettait ainsi à moins d’une dizaine d’hommes de pouvoir soulever et hisser des charges de plusieurs tonnes. A ce niveau, le principal danger provenait de la tension maximale supportée par la corde plutôt que du système en lui même.
Une fois la chèvre mise en place sur un site , il fallait désormais trouver un mode d’accrochage suffisamment solide pour lever les pierres . Plusieurs systèmes pouvaient être mis en place.
– Un simple ensemble de cordage ( élingues) tournant autour de la pierre. Ce système de fixation était contraignant car il obligeait à poser la pierre sur une cale afin de récupérer les élingues. La pierre n’arrivait dont pas directement sur son “lit de pose”, de nombreuses manutentions étaient obligatoires pour correctement placer la pierre ( ce qui suppose des risques de fractures et d’eraflures )
– Les tailleurs de pierres pouvaient directement laisser des ergots sur les faces latérales de la pierre ( tenons de bardage) afin de crocheter la pierre par ses cotés. Dans ce cas la pose n’est pas immédiate car les tenons doivent être “ravalés” afin de faire correspondre cote à cote deux pierres.
– Les tailleurs pouvaient inciser la pierre par des canaux intérieurs ou extérieurs afin de laisser les manutentionnaires passer des cordages de suspension
– Le système de griffe était couramment utilisé pour les blocs de moyenne dimension. Par l’intermédiaire d’un grande pince métallique, les manutentionnaires pouvaient agripper la pierre au niveau de deux trous préalablements taillés dans les faces latérales. C’est un système autoserrant très efficace mais mal adapté aux lourdes charges
– Le dernier système est celui du ” trou” de louve. Les sculpteurs réalisaient cette fois-ci un trou sur la face supérieure de la pierre. Le trou était calibré pour recevoir une piece mobile appelée “louve”. La louve,composée de trois parties démontables, permettait de lever des lourdes charges et de les placer directement sur le lit de pose prévu, ce qui limitait les risques de fracture . De plus, le logement de la louve ne necessitait aucune retouche après la pose de la pierre car étant directement recouvert par la pierre du niveau supérieur.
pour Winthrop University souvenirs d’excursions avec leurs étudiants!
Journée à Nimes, au Pont du GARD et Avignon in English, of course!
“Carol (my French sister):
Thank you for again providing me and our Winthrop group a wonderful two days of learning and fun.
You are a very talented guide and host. Your ability to interact with others and meet their needs is impressive. I am sure that you go home each night exhausted from your days work. “
Je vous accompagne à la découverte de cet héritage antique hors du commun…si,si, je pèse mes mots! Venez et vous verrez (Veni, Vidi!)
Découvrons : la maison Carrée pas si carrée tout de meme! Un des temples les mieux conservés de l’époque Romaine (entrée non incluse) ou encore la porte Auguste, vestige des remparts romains et le Jardin de la Fontaine jadis Augusteum, sans oublier l‘amphitheatre communément appelé les Arènes…bref il y a de quoi s’occuper!
Continuation vers le fameux site du Pont du Gard ! Classé au Patrimoine Mondial de l’UNESCO, il est la partie la mieux conservée de l’aqueduc romain qui alimentait en eau potable la ville de Nîmes.Visite guidée sur le site et Temps libre pour découvrir le musée consacrée à la construction du Pont.
La présence romaine a laissé des traces remarquables à Nîmes : des arènes, un temple nommé Maison Carrée, un vestige de remparts appelé tour Magne… Non loin de la ville, on est saisi par la vue qu’offre le Pont du Gard, qui enjambe la rivière Gardon et est environné de garrigue et de bois de chênes verts. Cet aqueduc, comme nombre d’autres sites antiques de la région, est très bien conservé.
Il y a des villes qui se livrent l’hiver…Arles en fait partie.
C’est le moment révé pour flaner dans les rues et partir à la découverte de cette belle cité que j’affectionne. C’est le moment de venir apprécier les vestiges gallo-romains : l’amphithéatre, le theatre antique, les thermes de Constantin et les impressionnantes cryptoportiques.
Mais ce n’est pas tout : direction l’Hotel Dieu, un havre de paix et une première rencontre avec un hote illustre : Van Gogh dont j’aurai l’occasion de vous reparler; le fameux autoportrait de ” l’homme à l’oreille bandée”, ca vous parle?
Vous n’etes pas encore rassasié…. il y a ce magnifique portail de la Cathedrale Saint Trophime : un regal pour nos yeux, l’élégante façade de l’hotel de ville et la charmante place aux hommes sur laquelle trone la statue de F.Mistral. On termine par une balade atypique le long des quais du Rhone, ca vous dit? pour avoir une autre vision de la ville et on comprend que ce fleuve, le Rhone a façonné le developpement urbain et économique de la ville
Dans l'édition 2019 du Guide Vert Michelin, le site du Pont du Gard se voit décerner 3 étoiles!
Mais que veulent bien dire cette attribution d'étoiles? le nombre d'étoiles décernées qualifie l'interet de la visite.
Verdict pour le PONT : vaut le voyage! Ah oui, quand meme, 2000 ans d'histoire ça fait toute la différence!
Donc pour tous ceux qui veulent se rafraichir la memoire, rdv au Pont du Gard pour une visite guidée. Je vous y attends!
Voic les 9 critères de visite sur lesquels ces lieux sont évalués
– Ressenti lors de la découverte du site
– Notoriété
– Richesse patrimoniale et richesse de la visite
– Présence de labels
– Valeur patrimoniale ou historique
– Beauté et esthétique
– Authenticité et charme
– Agrément de la visite (aménagement, accessibilité, entretien)
– Qualité de l’accueil
petit bémol : le cout du parking est lui aussi 3 étoiles !