Les vestiges du château de Peyrepertuse rappellent la guerre qui, au 13e siècle, fut menée contre les Albigeois ou cathares, qualifiés d’hérétiques par l’Église. Implanté au sommet d’une falaise, il fut l’une des places fortes de ces derniers. On y a une très belle vue sur les environs. Une trentaine d’autres « châteaux cathares » sont à découvrir dans la région, dont celui de Montségur en Ariège.
Venir visiter Peyrepertuse c’est vivre une expérience inoubliable au milieu d’une nature encore préservée où souvent vous aurez la sensation d’être privilégié et hors du temps !
Anciennement nommée « Cette » jusqu’en 1927, Sète est la troisième plus grande agglomération de l’Hérault derrière Béziers et Montpellier. Une ambiance de petite cité portuaire et une invitation à la poésie s’exhalent des rues de cette commune de 43 620 habitants, à la fois villégiature prisée entre mer, étangs et canaux, et ville populaire à l’âme maritime. On l’appelle également la « Venise du Languedoc » en raison de ses canaux et de son port de pêche. Paul Valéry – qui l’appelait « l’île singulière » -, Georges Brassens, Manitas de Plata et Jean Vilar y sont nés, donnant à Sète une intemporelle âme d’artiste. Sète est enclavée entre la mer Méditerranée, l’étang de Thau, et est célèbre pour la qualité de ses fruits de mer. Plus grand port de pêche de la mer Méditerranée française, Sète s’étire d’ouest en est entre plages de sable fin, de petits quartiers populaires, le port pittoresque et le Mont Saint-Clair.
1. Visiter le centre-ville
La ville de Sète fut fondée en 1666 par Louis XIV pour offrir un débouché maritime au canal du Midi : ainsi naquirent le port de Sète et les joutes nautiques. Quiconque vient visiter Sète se trouve charmé par l’atmosphère de la ville, entre les canaux, les petites placettes et les ruelles du centre-ville. En arrivant dans la ville, on profitera du canal royal, des quais Charles Lemaresquier, ou de la Promenade Jean-Baptise Mary, où l’on peut d’ailleurs manger dans des restaurants de fruits de mer en humant les effluves du port et de la criée. Au menu, tielles, macaronade, bourride de baudroie, rouille de seiche, moules et encornets farcis, soupe de poisson, daurade royale, coquillages de l’étang de Thau, zezettes, frescati… Une balade le long du Quai du Mistral à la Pointe Courte vaut le détour.
2. Monter au Mont Saint-Clair
Pourquoi ne pas visiter Sète en prenant de la hauteur ? Le belvédère du Mont Saint Clair offre un panorama splendide sur la mer, l’étang de Thau et sur la ville quadrillée par ses canaux. Une petite randonnée urbaine – facile, mais cela monte bien quand-même – permet de monter à 175 mètres d’altitude. Il s’agit en fait d’une ancienne île méditerranéenne, avant que ne soit formé le cordon de terre la reliant à ce qui est aujourd’hui la commune de Marseillan. Une forte densité de zones boisées se trouve à l’ouest de l’îlot, dont la forêt domaniale de Sète. A l’est, on trouve le cimetière marin – où sont inhumés Paul Valéry et Jean Vilar – et le phare de Sète. En redescendant, au sud, on ne manquera pas de faire le musée Paul Valéry et le musée de la mer. En redescendant par l’ouest, se dévoilent la plage de la Corniche et la plage des Quilles.
Que faire à Sète ? Au musée Georges Brassens, les fans inconditionnels du roi des mots tirant sur sa bouffarde seront comblés : l’espace d’un instant, ils auront la voix de leur idole dans les oreilles. Le musée dédié à l’auteur-compositeur-interprète est celui le plus visité de la ville de Sète, avec 50 000 visiteurs par an. Cette visite promet d’être émouvante si vous aimez la poésie, la chanson et les idées de Georges Brassens (1921-1981). On pénètre dans le musée muni d’un casque stéréophonique pour écouter des chansons et des interviews de l’artiste. Des objets, photos, articles de presse retracent la vie de G. Brassens, entre Sète et Paris, des années 1920 à sa mort. Pendant une heure environ, on explore la façon dont il écrivait, ses sources d’inspiration, son caractère, et ses thèmes d’écriture à différentes étapes de sa vie (ses expériences, les femmes, le désir, la religion, la mort, etc.), une immersion poétique dans l’univers du chanteur. En fin de visite, traverser la route pour vous recueillir sur sa tombe au cimetière « Le Py », nommé « cimetière des pauvres » par les locaux, où il réside avec ses parents et sa bien-aimée Joha Heiman, dite Püppchen. Lui qui disait préférer, en chantant, avoir « un petit trou moelleux sur la plage de la Corniche » (Supplique pour être enterré sur la plage de Sète), y passe sa mort en vacances depuis le 29 octobre 1981.
A l’extrémité ouest de la ville, se trouvent les plages de Sète. Été comme hiver, on peut aller s’y baigner ou flâner sur le sable fin, pour profiter d’un long cordon de plage mouillée par les flots bleus. Sept magnifiques plages se trouvent entre le centre-ville de Sète et Marseillan, avec vue sur le Mont Saint-Clair : la plage du Lazaret, la plage de la Corniche, la plage du Lido, la plage du Castellas, la plage de la fontaine, la plage de la baleine et la plage des 3 digues. De larges parkings à proximité permettent de se garer même en pleine période estivale.
Le Môle Saint-Louis est la jetée qui ferme le port de plaisance de Sète. La première pierre du môle Saint-Louis fut posée le 29 juillet 1666. Une balade le long de cette digue vaut un coup d’œil, pour admirer la ville comme si l’on était dans l’eau. Au bout de la jetée, le phare du Môle Saint-Louis permet une belle vue sur le port de plaisance.
Marseille Provence Gastronomie 2019 ou MPG2019, sous ce nom de code se cache une initiative du département des Bouches du Rhône. Donc, c’est la dernière ligne droite avant la fin de cette action de promotion. Une bonne excuse pour se rendre dans la cité phocéenne.
On commence par le marché aux étals alimentaires aux saveurs provencales, on a que l’embarras du choix! Moi, j’ai un (petit) faible pour le marché Bio du mercredi du Cours Julien : fruits, légumes, charcuterie et fromage…un régal pour les yeux avant celui des papilles!
Puis direction le bord de mer, il est l’heure de revêtir son tablier de cuisine pour un cours Magistral de cuisine autour du plat emblématique de Marseille… la BOUILLABAISSE, bien sur
L’après midi, direction Aubagne pour un rendez-vous dans la ferme pédagogique qui produit la brousse du Rove (AOC obtenue en 2018 ) et des fromages de chèvre fermiers. Sur ce territoire c’est une espèce de chèvres très rustique : la chèvre du Rove qui se nourrit de plantes issues de la garrigue d’où ce gout particulier qui vaut le détour.
La mer d’un côté, l’étang de l’autre, entre les deux de jolis canaux… Et pourtant “l’île singulière” n’a rien de balnéaire. Car, même hors saison, le premier port de pêche du littoral français est toujours en effervescence.
En descendant au-delà de Montpellier, jusqu’à Sète, on s’attendait à retrouver l’atmosphère des stations balnéaires de notre enfance : du béton, des promenades saturées de marchands de glaces et de manèges, et des plages aménagées. Mais Sète ne ressemble ni à Palavas ni à La Grande-Motte. “L’île singulière”, comme l’avait baptisée Paul Valéry, enserrée entre la mer et l’étang de Thau, est avant tout un port de pêche, le premier du littoral français méditerranéen. Ses chalutiers, ses thoniers, sa criée en font une ville « travailleuse » et vivante. Une ville culturelle aussi, dont les canaux, les vieux quartiers de pêcheurs et les ruelles lumineuses continuent d’inspirer artistes et cinéastes.Depuis les halles, par le passage du Dauphin, on arrive le long du canal Royal, où s’alignent des centaines de bateaux de pêcheurs colorés. Les petits en repèrent même un qui a coulé à pic. C’est là qu’en août, à la Saint-Louis, ont lieu les fameux tournois de joutes. Perché sur un bateau, un jouteur protégé par un pavois (bouclier) tente de faire tomber l’adversaire à l’eau avec sa lance. La tradition remonte au Moyen Age, mais continue d’attirer locaux et touristes. La promenade le long du quai de la Marine, bordé de restaurants et de boutiques, est agréable. Au pont de la Savonnerie (2), embarquement immédiat dans l’un des bateaux de Sète Croisières, pour découvrir la ville au fil de l’eau. Le Canauxrama, pour une visite des canaux en passant sous les neuf ponts, ou L’Aquarius, qui sort en mer.
Retour face à la criée(3), devant laquelle une trentaine de chalutiers déchargent des cageots de poissons. De l’extérieur, cet immense hangar ne ressemble pas à grand-chose. C’est à l’intérieur que le ballet se joue, et que défilent bacs de dorades, de rougets, de seiches – il se vend jusqu’à 700 lots par heure aux enchères. Dommage, les acheteurs ne crient plus à l’ancienne, mais appuient simplement sur un bouton pour passer commande – la criée sétoise a été la première d’Europe à être informatisée.
Direction : “La Mamma”. Comme attiré par le clocher de la décanale Saint-Louis (4), qu’on aperçoit depuis les quais, on quitte le bord de l’eau pour rejoindre le Quartier haut. L’ancien fief des pêcheurs « marins » a gardé le charme d’antan, ses ruelles étroites, ses petites maisons de deux étages aux façades roses et jaunes. On s’arrête place de l’Hospitalet, devant l’opulente sculpture de Richard Di Rosa : La Mamma. C’est face à cette femme pulpeuse aux lèvres charnues que l’on s’arrête pour dîner de quelques tapas, au café Le Social : un bar de copains, fief d’une des sociétés de jouteurs sétoises, où l’ambiance est à la fois populaire et branchée.
article du Monde https://www.lemonde.fr/m-voyage-le-lieu/article/2016/02/16/deux-jours-a-sete-la-bouillonnante_4866317_4497643.html
Vous le sentez ? Mais oui, ce petit air de printemps qui commence à pointer le bout de son nez ! Il est partout : dans les champs avec les amandiers en fleurs, dans les collines avec les asperges sauvages qui n’attendent qu’une bonne omelette pour diffuser toutes leurs saveurs et dans les villes avec le retour des hirondelles ? Bref, il est grand temps de prendre l’air.
Des vignes et des oliviers…mais pas que ! Un terroir multiple, riche en Histoire et en parfums….
Situé au cœur des Dentelles de Montmirail, le vignoble de Beaumes de Venise a été promulgué Côtes du Rhône pour ses vins rouges. Mais Beaumes de Venise, c’est d’abord le Muscat, de l’or en bouteille. Il est connu dans le monde entier, et a la réputation d’être parmi les meilleurs. Vous pourrez déguster ce fameux cru aprés la visite de la cave d’un domaine viticole.
"Enfant des Dentelles de Montmirail, Beaumes-de-Venise dernier-né des crus de la Vallée du Rhône. Le vignoble vous offrira un panorama exceptionnel sur les Dentelles de Montmirail.oile un terroir à la signature forte. Contraste de miel et de rugosité, de paix et de force, lieu de paradis encore préservé."
un peu d'histoire : les premiers Muscats furent plantés à Beaumes vers 600 avant J.C. par les colons grecs. Dès 1309, le Pape Clément V et la Chambre apostolique possèdent une muscadière. Si les guerres de religions du Moyen-Age réduisent fortement le vignoble, les grands du royaume dégustent régulièrement le Muscat.
Mais il est grand temps de se diriger vers Cairanne, dernier-né des crus de la vallée du Rhone. Amateurs de photos, le vignoble vous offre un panorama exceptionnel sur les Dentelles de Montmirail!
"Caché derrière un paysage mélodieux, Cairanne dévoile une étonnante plénitude soigneusement organisée, enrobée d’une patine de velours."
Enfin, nous termirons cette superbe journée à Châteauneuf du Pape c’est le CRU le plus prestigieux cru de la Vallée du Rhône coté Sud!
Les vestiges du Château offre une vue imprenable sur toute la vallée jusqu’à Avignon, le vignoble, la vallée du Rhône, les Alpilles, le Luberon, le Mont Ventoux…bref, c’est un concentré de Provence sous vos yeux!.
Si nous avons encore un peu de temps un sentier balisé qui part de l’ouest du village pour un circuit à travers les vignes en passant par le Rhône qui vous permet de voir les vignes de près.
Le vignoble fut à l’origine planté par les Papes au Moyen Âge, et est renommé depuis le XVIIIe siècle. Châteauneuf du Pape devint en 1936 la première appellation d’origine contrôlée reconnue officiellement dans les Côtes du Rhône. Coté chiffres : Il s’étend sur plus de 3300 hectares et est exploité par 55 domaines viticoles et près de 300 vignerons.
LOUIS IX serait il tombé sur la tete lorsqu’en 1240 il devient propriétaire d’un espace insalubre, au fin fond du royaume de France, dans un milieu plutot hostile peuplé de marécages et d’étangs, propice aux fièvres…..?
Quelle drole d’idée me direz vous!
Il est vrai que ce roi capétien n’a pas beaucoup d’autres choix . À l’est du Rhône, c’est le Saint Empire Romain Germanique, Saint Gilles dépend du Comté de Toulouse et Montpellier du Roi d’Aragon. Donc non seulement la mission de Louis IX est de trouver un espace maritime pour pouvoir créer un port et partir en Croisades mais aussi d’asseoir le pouvoir de la dynastie capetienne en Languedoc. Dès 1244, l’architecte Eudes de Montreuil dresse les premiers plans du port et de la ville enfin ville c’est un bien grand mot, il s’agit avant tout d’une base militaire; il faut d’abord imaginer un camp militaire constitué de tentes
et de manière à faciliter et encourager l’arrivée d’une population civile, une charte de privilèges sous la forme d’exonérations d’impôts verra le jour. Ca y est, Aigues Mortes etait née! Et cette cité va veritablement jouer un role majeur historique et economique :
historique car Saint Louis partirant deux fois d’Aigues Mortes pour les Croisades, en 1248 et 1270 et
économique car Aigues Mortes devient le premier port capetien de Mediterranée.
A la recherche du vertige….alors bienvenue sur le Viaduc, celui de tous les records , vous n’en croirez pas vos yeux!
le pont routier le plus haut du monde avec un ensemble pile-pylône atteignant 343 mètres, soit plus haut que notre Tour Eiffel chérie!
un tablier à 270 mètres au-dessus du Tarn.
C’est aussi le pont haubané le plus long avec 2460 mètres.
Permettant à l’autoroute A75 de traverser la vallée du Tarn, il est conçu par l’ingénieur français Michel Virlogeux et dessiné par l’architecte anglais Lord Norman Foster, il s’inscrit parfaitement dans un paysage naturel grandiose et intact: un tablier métallique au dessin très fin décrivant une légère courbe, supporté par des haubans, lui prodigue des allures de voilier, le tout reposant sur 7 piles, très élancées, épurées.
Pas encore convaincu? Un arrêt au belvédère vous permettra de comprendre tous les aspects techniques liés à la construction de ce GÉANT et les différentes étapes du chantier : création des culées, des 7 piles, des piles intermédiaires détruites depuis, du vertigineux tablier…. 3 ans de travaux pharaoniques jusqu’à l ‘inauguration en décembre 2004.
Découvrir le Viaduc autrement
Pour les plus sportifs, pourquoi ne pas passer sous le viaduc en canoë ? Ou l’approcher au plus près en randonnée ? Les plus intrépides voudront peut-être le survoler en parapente, à vous de choisir pour avoir rendez vous avec l’émotion!
Et rien que pour nos yeux, un arrêt à La PEYRE s’impose non seulement parce que ce charmant village aux allures méditerranéennes est bâti sur le flanc d’un roc colossal qui domine abruptement la rive droite du Tarn. Difficile de ne pas tomber sous le charme de ce village adossé à sa falaise de tuf percée de grottes.
C’est surtout l’endroit rêvé pour observer l’élégant viaduc!
Bleu, bleu, le ciel de Provence
Blanc, blanc, blanc, le goéland Le bateau blanc qui danse
Blond, blond, le soleil de plomb
Et dans tes yeux
Mon rêve en bleu – bleu – bleu
Certains reconnaissent ils cette chanson?…oui elle date un peu mais le Bleu sera véritablement la couleur de notre journée!
Tout d’abord, commençons par Marseille fondée il y a 26 siècles : une halte s’impose au vieux port et son incontournable marché aux poissons, ambiance marseillaise garantie!
Puis direction Notre dame de la GARDE, véritable emblème de la ville, la bonne Mère nous offre un panorama à 360°.
Mais il est déjà l’heure de partir pour Cassis par le col de la Gineste pour un déjeuner sur le port bordé de maisons colorées qui caractérisent les petits villages de pêche de Provence et je vous rappelle le dicton “Qui a vu Paris et pas Cassis, n’a rien vu »!
Mais le spectacle est bel et bien en mer; donc embarquement immédiat pour découvrir ces merveilles naturelles : les Calanques (une Calanque est une ancienne vallée glaciaire immergée par la mer).
Paysages uniques, majestueux et d’une grande diversité : des crêtes aux falaises tombant à pic dans la mer, des garrigues aux pinèdes, des « calanques » (avancées de mer dans la terre) aux petites anses offrant des plages étroites et parfois inaccessibles, du littoral aux îles de Marseille et de La Ciotat, c’est une mosaïque de paysages remarquables!
Même si quelques cabanons se blottissent dans la pinède de certaines calanques (Callelongue, Marseilleveyre, Sormiou, Morgiou), témoignant de la présence humaine et de la proximité des villes, l’ensemble du massif reste avant tout un espace sauvage.
Enfin quittons le bleu pour le blanc, couleur du vin dominant ici à Cassis pour découvrir cette appellation confidentielle aux vins secs et fruités.
Retour par la route des Crêtes pour y admirer la vue à couper le souffle sur la baie de Cassis.
Voici ma dernière balade guidée, originale et conviviale et qui nous en met plein les yeux. Démarrage de notre journée à La Ciotat, le vieux port garde le charme des petits ports de pêche tout comme celui de Cassis et si vous ne le saviez-pas, c’est à la Ciotat, en 1910 , qu’ est née la pétanque. Donc, tous au boulodrome pour l’organisation d’un tournoi de pétanque, venez vous initier au sport national en Provence. Beau moment d’échanges en perspective!
Puis, balade guidée au cœur du charmant port de pêche avant d’embarquer pour une sortie en bateau de 02h30 pour découvrir ce patrimoine naturel exceptionnel : les Calanques! Falaise du Cap Canaille, Port Miou, En-Vau, La baie de CASSIS que Frédéric Mistral évoquait dans son poème Calendal, « Qui a vist Paris, se noun a vist Cassis, a ren vist » (Qui a vu Paris, s’il n’a pas vu Cassis, n’a rien vu)!
Puis de retour sur la terre ferme, un arrêt s’impose pour une dégustation d’un vin de l’A.O.P Cassis, protégée par le Cap Canaille, la plus haute falaise maritime de France, plongeant d’une hauteur de presque 400 mètres dans la Méditerranée.
Depuis la création de l’appellation, Cassis a bâti sa réputation sur les vins blancs (représentant 80 % de la production). Ces derniers sont connus pour être parmi les meilleurs blancs de Provence. Un dernier regard sur cette magnifique baie, on a qu’une envie….revenir!
Une randonnée qui vous fera grimper jusqu’au Mourre-Nègre, à 1125 m d’altitude pour une vue panoramique à 360° : à l’est, le plateau de Valensole, les gorges du Verdon, au sud, la Sainte-Victoire, les Monts Auréliens, la Sainte-Baume, le massif de l’étoile, à l’ouest, le Petit Luberon, les Alpilles, la vallée du Rhône, au nord, le mont Ventoux, les monts de Vaucluse, la montagne de Lure. Pique-nique au sommet avant de redescendre à votre rythme sur le village.
Au départ de Cucuron ou de Vaugines, vous découvrirez la végétation de ce massif. Au départ, des pins parasols typiques du climat méditerranéen vous encadreront pour laisser place au sommet, à des pins noirs et des pins des Landes d’altitude.
Pour un souvenir inoubliable, en été , préférez la montée en soirée pour admirer du sommet le coucher du soleil et redescendre à la tombée de la nuit.