Le vendredi, c’est Visite guidée et dégustation à Montpellier!

Visite guidée de l’Ecussion de Montpellier en français de 1h30 encadrée par une guide conférencière puis 1h00 de dégustations dans un restaurant.

Pendant 01h30, laissez-vous guider à travers le centre historique de Montpellier et ses lieux incontournables de la Place de la Comédie au quartier Saint Roch tout en déambulant par les Places de la Canourgue et Jean Jaurès, le charme de la Rue du Bras du fer et l’imposante façade de la Cathédrale… vous ne verrez plus Montpellier de la même façon!
Ensuite, rendez-vous pour la dégustation Vins, fromages et charcuteries pour le plus grand bonheur de nos papilles!

Conviviale, cette visite est parfaitement adaptée aux groupes d’amis et épicuriens!

réservation obligatoire ci dessous

https://book.montpellier-tourisme.fr/fr/evenements/494973/visite-d%C3%A9gustation-%C3%A0-montpellier-avec-prowinetour/afficher-les-details

Aux portes de Montpellier et de Nîmes: un patrimoine et des traditions à découvrir en calèche

Ici, L’homme, le cheval et le taureau vivent en parfaite communion et ce n’est pas un cliché. La preuve, je vous emmène à la découverte de la Manade Vitou, créée en 1983, l’homme, le cheval et le taureau vivent en parfaite communion.

Une passion de la bouvine transmise par Pierre le père à ses deux fils Jean-Pierre et Nicolas, puis à Pierre et Estelle, ses petits-enfants.

Situé sur la commune de Castries, à quelques kilomètres de Montpellier, le Mas Saint-Léonard offre aux visiteurs un milieu naturel protégé, une faune et une flore uniques préservées, un véritable havre de paix.

Différents services et activités y sont proposés. Des réceptions : de groupes avec la possibilité de se restaurer dans la salle pouvant accueillir de 50 à 200 personnes. Des ferrades : avec des explications sur la tradition sont orchestrées pour montrer le travail des gardians.

Parmi les activités proposées : le tri des veaux, la ferrade

Les visites en calèche tractée par un cheval de trait (2 h 30 environ), la manade étant la seule à proposer une telle prestation.

A partir de deux personnes, deux parcours sont programmés en compagnie du manadier : le Mas Saint-Léonard, avec les taureaux et les chevaux de Camargue, le travail et la vie des gardians (rassemblement du troupeau, le tri du bétail à cheval), l’oliveraie millénaire et son huile d’olive (dégustation d’huile d’olive picholine), le vignoble et le terroir Languedocien ou bien les Marais de hautes plages (balade bucolique entre terre et mer).

Possibilité de réception de groupe avec plusieurs calèches (le programme peut être modifié suivant la période et le nombre de participants…). Une aire de pique-nique est mise à disposition.

à Montpellier, du musée Fabre au street art

Belle idée que celle d’associer une visite guidée au musée et de l’associer à un parcours urbain à la découverte du street art!

Un mélange des genres à la fois surprenant, décoiffant parfois drole et souvent déroutant.

Si l’objectif des premiers street artistes étaient de faire “descendre” l’art dans la rue et d’etre un art de contestation, cette visite guidée permet de mettre l’accent sur la complémentarité des arts et les passerelles subtiles entre ces deux formes d’art : un art institutionnalisé, reconnu et repecté et un autre éphémère, illégal (souvent) et diversifié (graf, tag, pochoir, collage, écriture…)

oeuvre commandée réalisée par le street ariste Mist

https://youtu.be/IE0QvVUoTWw

TOP 5 DES + BEAUX POINTS DE VUE DE MONTPELLIER

Et oui, Montpellier peut se découvrir d’en haut ! Voici le top 5 des + beaux points de vue de Montpellier.

Portez un autre regard sur la ville en admirant le lever du jour sur la ville ou le coucher de soleil en fin de journée en plus les jours rallongent et le beau temps est au rendez-vous! 2 bonnes raisons supplemantaires pour prendre de la hauteur!

Coté le centre historique ou côté quartier contemporain, en accès libre ou accès privilégié, muni de votre appareil photos vous ramènerez des photos souvenirs inoubliables de votre séjour parmi nous.

Un incontournable : la terrasse de l’arc de triomphe

Envie de prendre de la hauteur ? N’hésitez pas à grimper les 90 marches qui vous mèneront, dans le cadre de la visite guidée de l’Office de tourisme, au sommet de l’arc de triomphe, avec la garantie d’une vue imprenable sur la ville !

Vous préférez un panorama à 360° ? Dirigez-vous sur le toit du Corum – Palais des Congrès : le quartier des Beaux-Arts, l’arrière pays et son Pic Saint-Loup s’offriront à vous.

Loin de l’agitation touristique de la Place de la Comédie, un autre lieu incontournable à ne pas manquer : la place royale du Peyrou, qui saura vous séduire à la tombée de la nuit avec son coucher de soleil unique. Les illuminations de Kersalé sur l’aqueduc des Arceaux « atmosphère bleutée » font de ce lieu historique un lieu magique.

Du côté du quartier moderne d’Antigone, du haut du centre commercial du Polygone, vous pourrez admirer la perspective architecturale entre les bâtiments jusqu’à l’hôtel de région et la place de l’Europe.

À certaines dates, l’accès dans les tours du clocher de l’imposante Cathédrale Saint-Pierre est possible, attention au vertige !

À la fin de votre balade surtout n’oubliez pas de nous faire partager vos photos!

Merci à l’office de tourisme de Montpellier pour cet article!

https://www.montpellier-tourisme.fr/Preparer-Reserver/Decouvertes/Les-incontournables-de-Montpellier/L-Office-de-Tourisme-vous-conseille/Top-5-des-beaux-points-de-vue-de-Montpellier

vue du sommet de l’arc de triomphe de Montpellier

Il n'ya pas de galerie sélectionné ou la galerie a été supprimé.

arc de triomphe de Montpellier aussi connu sous le nom porte du Peyrou

les meilleures tables régionales!

Oui, c’est curieux vu le contexte de vous parler de restaurants mais on finira bien par y retourner un jour ou l’autre….

Voici donc la liste actualisée des meilleures adresses de l’Occitanie et pensez à associer les plaisirs de la bouche à ceux de l’esprit. Donc une visite privée guidée s’impose avant de passer à table!

Les restaurants 2* et 3* en Occitanie et les nouveaux promus

AUDE
L’auberge du Vieux Puits 3***, 5 Avenue Saint-Victor, à Fontjoncouse (seul 3* de la région).
La Table de Franck Putelat 2**, 80 Chemin des Anglais, à Carcassonne.Visite privée de Carcassonne et de Narbonne possible!
La Table de Lionel Giraud 2**, Rond point de la Liberté, 68 Avenue Général Leclerc, à Narbonne.

AVEYRON
Bras 2**, Route de Laguiole, à Laguiole.

GARD Visite privée de Nimes possible!
Alexandre 2**, 2 Rue Xavier Tronc, à Garons.
Duende 1*, 15 Rue Gaston Boissier, à Nîmes. (Distingué en 2021)

HAUTE-GARONNE
Michel Sarran 2**, 21 Boulevard Armand Duportal, à Toulouse.
Py-r 2**, 19 Descente de la Halle aux Poissons, à Toulouse.

HERAULT
Leclere 1*, 41 Rue de la Valfere, à Montpellier (Distingué en 2021)
Le Pastis 1*, 3 Rue Terral, à Montpellier (Distingué en 2021)
Reflet d’Obione 1*, 29 Rue Jean Jacques Rousseau, à Montpellier (Distingué en 2021)
Visite privée de Montpellier possible!

GERS
Le Puits Saint-Jacques 2**, 57 Avenue Victor Capoul, à Pujaudran.

Nouveauté : une balade sonore comme si vous y étiez!

Envie de vous balader au jardin ….belle invitation n’est ce pas?

Venez, ca vous changera les idées! Il s’agit d’un jardin pas tout à fait comme les autres!

Ecouter et vous saurez! Direction Montpellier

Tout commence en 1593….et oui, ça date un peu – petit repère historique on est sous le règne d’Henri IV et ce roi de France va jouer un role majeur dans la création de ce jardin royal à Montpellier mais pas que….il fera de ce jardin le plus ancien jardin des plantes crée en France. Bravo!

Bon vous allez me dire :”ce n’est qu’un jardin”! Non détrompez vous ce jardin est véritablement extra-ordinaire. Oui, je sais, vous allez me trouver non objective mais ce jardin a été un creuset du savoir lié à la botanique pour la ville, pour la France et meme pour l’Europe! Vous voulez une anecdote? Linné, le grand Linné a dit de Montpellier que c’etait le paradis des botanistes. Alors convaincus?

Je ne peux pas lister les très grands botanistes qui feront de ce jardin leur jardin d’experimentation tant la liste serait longue! Magnol, Candolle, Richer de Belleval, les De Jussieu Planchon….sans oublier parfumeurs et apothicaires. Vous comprenez l’importance de la Botanique dans la ville de Montpellier!

https://www.podcastics.com/podcast/episode/%C3%A9pisode-25-rendez-vous-au-jardin-des-plantes-40698/?s=82

Coté pratique : je jardin des Plantes est ouvert tous les jours sauf le lundi uniquement les après midi.

Visite possible pour groupes et individuels sur demande. N’hésitez pas à me demander plus de renseignements.

Possibilité de coupler cette visite à la visite de la faculté de médecine historique située à 2 pas du jardin.

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entrée principale du Jardin des plantes à Montpellier
entrée principale du Jardin des plantes
Vue sur l’ecole systématique et le batiment de Delagardette
faculte de medecine
possibilité de decouvrir ce batiment prestigieux qu’est la faculté de medecine de Montpellier

Montpellier et le Street Art

Montpellier est l’une des rares villes en France où se côtoient toutes les tendances artistiques du street art, et ce à chaque coin de ruelle.
Ancien ou moderne, amateur ou professionnel, l’art de rue se répand en ville
Bien qu’un siècle sépare les trompe l’oeil des graffitis, l’art est le même. Et leur objectif aussi.
“Notre modeste objectif est d’émerveiller le plus grand nombre, mais aussi de faire lever le nez des gens de leurs smartphones”, explique un graffeur. 
À Montpellier, les projets éphémères fleurissent un peu partout dans la ville. Tantôt dans le quartier Rondelet, où Mist égaye la façade d’une maison.
Tantôt aux Arceaux, où les street-artists Al Sticking, Smole et Salamèche avaient investi une maison où chaque pièce possédait sa propre ambiance, sa propre empreinte et ses propres questionnements.
Ne manquez pas notre scénario “Respectueux Hommages” développé en collaboration avec Atlantide – Votre objectif: vous devez arpenter les rues pour résoudre les énigmes de Sig-Ma avant qu’il ne soit trop tard et sauver les œuvres de Street-Art dans le cœur historique de Montpellier ! Le parcours idéal pour une découverte du patrimoine urbain de la ville.

Source :
montpellier-tourisme.fr/Preparer-Reserver/Decouvertes/Une-mosaique-d-ambiances/Montpellier-Street-Art#:

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Gui de CHAULIAC 1298-1368 Chirurgien, docteur en médecine français

SOURCE http://www.medarus.org/Medecins/MedecinsTextes/chauliac.html

Le XIIe siècle est le grand siècle des universités, communautés juridiques de maîtres et d’étudiants.
A Montpellier il reste du passage de célèbres étudiants des traces précieuses comme les signatures de Guy de Chauliac, Arnaud de Villeneuve, Pétrarque, Nostradamus et même Rabelais !

Gui de Chauliac 

Chirurgica Magna

Il publie en 1363 son œuvre maîtresse La Grande Chirurgie “Chirurgica Magna” qui est une adaptation de “Inventorium sive Collectorium artis chirurgicalis medicinae” déjà publié en 1340. Elle était également appelé Guydon (allusion populaire au prénom de Guy, Guydo en italien): “Guydonis de Caulia” ou “Guydo de Cauliaco”

Gui de Chauliac

Guy de Chauliac naquit dans une modeste famille paysanne des Monts de la Margeride vers 1298 à Chaulhac, commune du canton de Malzieu en Lozère, sur la bordure sud-ouest du Massif Central. Il apprend le latin auprès du curé de la paroisse qui décèle en lui une intelligence et une capacité d’observation hors du commun.

C’est par reconnaissance que la châtelaine de Mercœur l’envoie étudier la médecine dans les facultés du Languedoc à Toulouse puis à Montpellier où il devint Magister en Médecine en 1325. A partir de cette date, on le voit fréquentant les différentes “Universités” européennes : Toulouse, Bologne, Paris.

A Bologne et Paris il apprend la médecine et non la chirurgie alors dévolue aux barbiers, mais il y découvre les travaux d’anatomie des médecins grecs et judéo-arabes.

Chauliac/Bologne

“Entre Montpellier et Bologne” L’itinéraire intellectuel de Mondino di Luzzi (1276-1328) et Guy de Chauliac (1298-1368), deux importants médecins du XIVe siècle, illustre l’existence de liens doctrinaux et académiques entre la faculté de médecine de Montpellier et le Studium médical de l’université de Bologne.
C’est dès 1315 que Mondino di Luzzi décrivit les protocoles qu’il utilisait pour les autopsies des corps humains. Il rassembla ses remarques méthodiques dans un traité “Anatomia” qui fit autorité pendant deux siècles sur le sujet. Un an plus tard, les dissections furent pratiquées à Bologne dans un but didactique.
Niccolo Bertuccio, héritier et continuateur des idées et de la méthode anatomique de Mondino, fut le maître bolognais de Guy de Chauliac et représente le point de contact entre la tradition anatomique bolognaise et les écoles françaises de médecine. Guy de Chauliac propose dans sa “Chirurgia Magna” le modèle bolognais de la bipartition de la médecine en theorica et practica et place comme fondement théorique de l’acte chirurgical l’étude de l’anatomie, appris à Bologne selon la nouvelle méthode introduite par Mondino.

En 1340 le pape Clément VI prit pour l’époque une mesure révolutionnaire : il autorisa les autopsies publiques des pestiférés à Montpellier, afin de tenter de découvrir l’origine de leur mal. Cette mesure marque le début des dissections à but médical. Guy de Chauliac participe à des dissections de cadavres qui l’éclairent sur le corps de l’homme.

C’est aussi dans les années 1340 que Guy de Chauliac écrivit “Inventorius sive Collectorium Partis Chirurgicalis Medicinae”. Son ouvrage est une compilation des auteurs grecs et arabes, des maîtres de Salerne et des chirurgiens de Bologne. Il sera repris dans une édition datée de 1363.

Guy de chauliac exerça son art au long du Rhône, à Lyon et en Avignon :

La peste
Elle est apparue dès le haut moyen-âge (entre 400 et 900) en Europe et dans les principautés belges, et disparaît de manière inexpliquée au VIIIme siècle. Après une absence de quatre siècles la planète toute entière va connaître quasiment 400 années d’épidémies de peste qui se renouvelleront de 1348 à 1721 avec une cadence plus ou moins constante de 3 à 4 épidémies par siècle écoulé.
Tout les hommes de ce temps vont être confrontés au terrible fléau, dont on ne sait pas se protéger, car à l’époque on ne sait rien de sa cause et de sa propagation.
Réapparue en Asie centrale en 1337, la peste laisse treize millions de morts après son passage en Chine.
Dans les villes insalubres, les populations sous-alimentées résistent mal aux épidémies de peste, qu’une médecine balbutiante se révèle incapable d’enrayer.
En 1347, suivant les grands axes commerciaux, la peste détruit l’armée de la Horde d’Or qui assiégeait les génois dans Caffa en Crimée. De là, l’épidémie se propage en Sicile pour atteindre en 1348 la France et l’Espagne ; en 1349 elle se répand en Allemagne, en Europe centrale, en Angleterre, puis l’Ecosse et les pays scandinaves en 1350.
Appelée couramment peste noire ou bubonique, à défaut d’être transmise par contacts directs avec le malade contaminé, elle est transmise et transportée par les puces des rats qui logeaient dans les cales des navires. C’est pourquoi les villes portuaires furent les premières atteintes par la maladie.
Nul n’est épargné par le fléau.

• En 1348 Guy de Chauliac rejoint Avignon où il devient chapelain et médecin des papes Clément VI (1342-1352) – sur lequel il aurait procédé à une trépanation – Innocent VI (1352-1362) – qui le nommera chanoine de Reims – et Urbain V (1362-1370) – lozérien comme lui dont il fut aussi un ami très proche.
Guy de Chaulhiac arrive en Avignon en 1348, l’année où commence à sévir l’épouvantable épidémie de peste noire à laquelle il faillit succomber, mais dont il se guérit lui-même. Il étudia scientifiquement la maladie dont nous connaissons les manifestations cliniques grâce à ses écrits:
” L’importante mortalité de la maladie pouvait survenir de deux façons:
La première, sévit pendant les deux premiers mois de l’épidémie, elle se manifeste par une fièvre continue qui s’accompagne d’hémoptysie, le malade meurt en trois jours; c’est la peste pulmonaire.
La deuxième, pendant la suite de l’épidémie, se manifeste également par une fièvre continue et élevée puis apparaissent des hématomes, des abcès noirâtres (le sang infecté se répandait sous la peau ) et des tuméfactions ganglionnaires dans les aines et les aisselles sur les parties externes du corps et la mort survient en cinq jours; c’est la peste bubonique. On note des cas où des patients survivent et réussissent à surmonter cette forme pathologique de la peste.
On constate une grande cantagiosité spécialemnt en cas d’hémoptysies non seulement en rendant visite aux malades mais également en les observant de loin, cela pouvaut suffire pour passer d’une personne à une autre.”
La peste septicémique est une troisième forme que Guy de Chauliac n’a pas pu reconnaître car la septicémie était si rapide que les malades décédaient en quelques heures avec des symptômes cérébraux importants et hémorragiques diffus.
Un tiers environ, sinon la moitié de la population disparut emportée par le fléau.

Guy de Chauliac est le chirurgien le plus éminent du XIVème siècle, il a révolutionné l’esprit médical de son temps et mérite le nom de
“Père de la Chirurgie Moderne.”

Van Gogh en Provence

Avignon

– Visite du Musée Angladon où vous pourrez admirer le seul tableau de Van Gogh en Provence : Wagons de chemin de fer – août 1888.

Itinéraire touristique : Van Gogh en Provence

Puis direction Saint Rémy de Provence

A voir / à faire :

-Visite du monastère de Saint Paul de Mausole, transformé au XIXe siècle en asile et où Van Gogh trouvera refuge au cours de l’année 1889/1890 juste avant de se suicider. Dans l’allée du monastère, un buste en bronze rappelle le séjour du peintre.

Traversée des Alpilles par l’impressionnant Val d’Enfer.

Rejoindre Arles

A voir / à faire :

-Passage devant l’Abbaye de Montmajour qui inspira le peintre (possibilité de visite).

-Visite de la ville d’Arles. Son patrimoine romain et roman, Ville de Van Gogh, capitale de la Camargue et chaque année le rendez-vous de la photographie, de la musique, de la tauromachie… Arles est une ville d’art et d’histoire, classée par l’UNESCO comme Patrimoine mondial de l’Humanité. – www.arlestourisme.com

-Évocation de la vie de l’artiste sur les lieux où il vécut et qui lui inspirèrent ses plus belles toiles (L’Hôpital Van Gogh, le Pont Langlois, les Alyscamps, la Place Lamartine…).


12 septembre 1213 : La bataille de Muret

Le 12 septembre 1213, les Français du nord et du sud, en conflit sous le prétexte d’une croisade contre les Cathares, se livrent bataille sous les murailles de Muret, au sud de Toulouse. Le roi Pierre II d’Aragon, qui s’est rangé aux côtés des méridionaux, va y perdre la vie

https://www.bing.com/videos/search?q=bataille+de+muret&&view=detail&mid=041AB49FDE2CD05555D6041AB49FDE2CD05555D6&&FORM=VRDGAR&ru=%2Fvideos%2Fsearch%3Fq%3Dbataille%2Bde%2Bmuret%26FORM%3DHDents

catholiques

Les Français du nord sont guidés par un seigneur d’Ile-de-France, Simon de Montfort. Ils portent la croix sur la poitrine et veulent extirper l’hérésie cathare des terres languedociennes. Les méridionaux, autour du comte de Toulouse Raimon VI et de son beau-frère, le roi Pierre II d’Aragon, sont d’aussi fervents catholiques que les premiers. Mais ils craignent non sans raison que les croisés leur enlèvent leurs droits, leurs terres et leurs coutumes sous prétexte de religion. Le comte Raimon VI et le roi Pierre II d’Aragon vont assiéger ensemble le petit château de Muret, au confluent de la Garonne et de la Louge. Situé à vingt-cinq kilomètres au sud de Toulouse, il appartient au comte du Comminges. Il est occupé par tout juste trente chevaliers et quelques fantassins. Quittant Fanjeaux, dans le Lauragais, Simon de Montfort accourt à leur rescousse avec le gros de ses troupes, soit neuf cents hommes. Sur le chemin, il prend le temps de faire ses dévotions à l’abbaye de Boulbonne. Enfin, il entre dans le château de Muret avec le risque d’y être assiégé à son tour.

Royale imprudence

Pierre II d’Aragon veut tirer la victoire d’une vraie bataille et non d’un siège sans gloire, ce qui, après sa victoire de Las Navas de Tolosa sur les musulmans, lui permettrait de jouer un rôle d’arbitre au nord des Pyrénées comme dans la péninsule ibérique. Au lieu d’attendre que la famine fasse son oeuvre dans le château, il encourage les assiégés à sortir et à se battre en terrain ouvert. Simon de Montfort, habile stratège, répond à son attente en sortant avec ses hommes. Mais il prend la direction du sud, donnant l’impression de la fuite, puis se rabat à l’ouest, traverse la Louge, et fonce sur le camp toulousain, qui compte plus d’un millier d’hommes. En première ligne, face à la cavalerie des croisés, combattent les comtes de Foix et de Comminges ; en deuxième ligne, les troupes d’Aragon ; en troisième ligne, au milieu des archers et des hommes à pied, le comte Raimon VI de Toulouse, qui désapprouve la tactique par trop téméraire du roi d’Aragon. De façon quelque peu inattendue, les croisés, moins nombreux mais plus disciplinés, percent la première ligne et atteignent la deuxième. Là-dessus, Simon de Montfort et ses troupes se lancent dans la mêlée sur le flanc. Pierre II, le héros de Las Navas de Tolosa, est frappé à mort. Les soldats à pied d’Aragon se débandent dès qu’ils apprennent la mort de leur souverain. Les croisés les poursuivent et les massacrent. Le fils et héritier du roi, Jacques (six ans), est quant à lui capturé et plus tard renvoyé dans son royaume au-delà des Pyrénées. Les fantassins de Toulouse sont à leur tour assaillis et tentent d’échapper au massacre en rejoignant les bateaux au mouillage sur la Garonne. Leur comte, qui n’a pas lui-même eu le temps de participer aux combats, se trouve une nouvelle fois isolé. Il n’a d’autre solution que de s’enfuir en Angleterre, chez le roi Jean sans Terre, en attendant l’heure de la revanche.

Vers une guerre nationale

L’année suivante a lieu à Bouvines, au nord, une autre bataille décisive pour le destin de la France. Elle se solde par la victoire du roi Philippe II Auguste, qui s’affirme comme le principal souverain d’Europe. Rassuré sur la solidité de son trône, le roi de France tourne ses yeux vers le drame qui se joue dans le Midi. Il obtient le concours du pape Innocent III, lequel se résigne à déchoir le comte de Toulouse Raimon VI de ses titres par le décret du 14 décembre 1215. Philippe II Auguste assure ses arrières en obtenant l’hommage-lige de Simon de Montfort pour toutes les terres qu’il a conquises dans le Midi, à l’exception du marquisat de Provence (cette ancienne possession des comtes de Toulouse, au nord de la Durance, ne dépend pas des rois capétiens). La guerre, dès lors, de religieuse devient « nationale ».

https://www.herodote.net/12_septembre_1213-evenement-12130912.php

L’Arbre blanc de Montpellier élu plus bel immeuble au monde

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/montpellier/arbre-blanc-montpellier-elu-plus-bel-immeuble-au-monde-1790763.html

Le plus beau bâtiment résidentiel du monde est à Montpellier. C’est l’Arbre blanc qui a été élu par le site spécialisé en architecture ArchDaily. Cet immeuble contemporain a vu le jour au printemps dernier sur les bords du Lez.

Le plus beau bâtiment résidentiel du monde est Montpelliérain. L’Arbre blanc  a été élu par le site spécialisé en architecture ArchDaily.  Cet immeuble contemporain a vu le jour au printemps dernier sur les bords du Lez.
“Magnifique”, “cool”, “plutôt réussie” … ou pas, “ça ne fait pas trop penser à un arbre”… Les commentaires des passants ne tarissent pas à la vue de l’édifice. Appréciée décriée ou même détestée, l’architecture de l’Arbre Blanc ne laisse personne indifférent.

Consécration 

Pourtant, la consécration du programme immobilier pensé par Sou Fujimoto et OXO, achitectes associés, Nicolas Laisné et Dimitri Roussel, architectes mandataires, est arrivée le 19 février. 95.000 visiteurs du site d’architectes internationaux Archdaily ont élu la tour résidentielle de Montpellier plus beau bâtiment du monde dans la catégorie Immeuble de Logements.

à voir en urgence, une edition de “De humani corporis fabrica” de Vesale!au musée Fabre à Montpellier

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Dans le cadre de l’exposition “art et anatomie” il est exposé au musée Fabre de Montpellier un exemplaire de 1555 du fameux traité d’anatomie écrit par le médecin flamand, “Père de l’anatomie moderne”, André VÉSALE dit Andreas Vesalius. (1514/1564).

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En toute honneteté, je suis restée schotchée devant cette oeuvre magistrale dont j’ai souvent parlé à mes etudiants lors du cours sur la Renaissance ou dans le cadre de mes visites. Mais là, l’avoir sous les yeux…c’est incroyable !

La Fabrica contient l’unique portrait de Vésale réalisé de son vivant, il est attribué à un élève du Titien, Jan Stephan van Calcar (1499-1546 ?).

Vesalius Fabrica portrait.jpg

Cet ouvrage, le plus exact et le plus complet de l’époque, provoqua des débats passionnés, il fut un sujet d’admiration et de scandale, car tout y était En 1555, il en publie une deuxième édition dans laquelle il corrigera légèrement certaines erreurs de Galien, notamment à propos de la circulation sanguine.

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Vers 1533, Vésale ayant été le condisciple de Guillaume Rondelet dit Rondibili à la faculté de Montpellier; la légende veut que Vésale ait poursuivi ses études de médecine à Montpellier, mais son séjour dans cette ville ne peut être vérifié.

Vous l’aurez compris cet ouvrage est très peu exposé donc profitez-en!

pour la petite histoire, Vésale est condamné à être brûlé vif .

Heureusement, le roi Philippe II vient au secours du médecin. Il échappera au bucher s’il part faire pénitence à Jérusalem. C’est ainsi qu’André Vésale quitte sa maison, sa femme et ses enfants pour un long pèlerinage vers Chypre puis la Terre Sainte. Après une période de repentance, il a l’autorisation de rentrer. Justement, l’Université de Padoue lui propose de reprendre son poste de professeur d’anatomie. De quoi prendre un nouveau départ, loin de Madrid.

Il trouve une place sur un bateau de pèlerins qui doit le ramener en Italie. Seulement le voyage se transforme en cauchemar. Une tempête arrive et l’équipage n’est pas formé pour y faire face. De plus, la nourriture est avariée et l’hygiène à bord est catastrophique. André Vésale se sent mal, il pense avoir attrapé le scorbut comme de nombreux passagers. Le capitaine du navire le débarque alors sur l’île de Zante, au large du Péloponnèse. A bout de force, seul et sans aucun moyen de se soigner, le père de l’anatomie moderne meurt après quelques jours d’agonie. En réalité, il souffrait du typhus. Triste fin pour cette pointure du monde médical!

version en ligne https://memonum-mediatheques.montpellier3m.fr/viewer_pdf/viewer/bibnumerique.html?file=/bibliotheque_numerique/IFD_FICJOINT_TEXTE_IMPRIME_C0769_1_1.pdf

Montpellier : Agnès McLaren, un regard féministe sur les 800 ans de la Faculté de Médecine

https://actu.fr/occitanie/montpellier_34172/montpellier-agnes-mclaren-regard-feministe-sur-800-ans-faculte-medecine_31757837.html

Pratique : « Agnès McLaren » du 9 au 27 mars dans l’atrium du Campus Arnaud de Villeneuve à Montpellier. du lundi au vendredi de 7h-20h – Entrée libre

« Agnès McLaren » est une exposition qui retrace la vie et le combat de la première femme diplômée de la Faculté de Médecine de Montpellier. On vous dit tout !

l'exposition "Agnes McLaren", présentée du 9 au 27 mars à Montpellier aborde le sujet de l’inégalités entre les hommes et les femmes.

Organisée dans le cadre des 800 ans de la Faculté de Médecine de Montpellier, l’exposition « Agnès McLaren », présentée du 9 au 27 mars à Montpellier aborde le sujet de l’inégalités entre les hommes et les femmes.

Une rétrospective proposée dans le cadre de la Journée internationale des droits des femmes qui ouvre un grand angle sur la situation des femmes, et plus précisément sur celle des étudiantes en médecine

Engagée tout au long de sa vie dans le combat pour les droits des femmes, Agnès McLaren a été la première femme diplômée de l’université de médecine de Montpellier. Écossaise née en 1837, elle a été, non seulement très en avance sur son temps, mais elle a aussi joué un grand rôle dans la médecine fémini

Plus que quelques jours pour retrouver Soulages en tete à tete à Montpellier!

Collection Soulages

27 NOVEMBRE 2019 – 29 MARS 2020

À l’occasion des cent ans de Pierre Soulages, le musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole vous convie, au travers d’un parcours enrichi de nouvelles œuvres, de documents d’archives et de témoignages littéraires, à (re) découvrir sous un nouvel angle, subjectif et intime, le travail de Pierre Soulages, dont les liens privilégiés avec Montpellier remontent à son plus jeune âge. Des commentaires de l’artiste, qui a fréquenté assidûment le musée tout au long de sa carrière et fut marqué par nombre de ses œuvres, viennent ponctuer les salles des collections permanentes du musée.

Inaugurées en 2007, avec la réouverture du musée Fabre après un vaste chantier de rénovation, les salles Soulages, au cœur du parcours consacré à l’art moderne et contemporain du musée, abritent sur 600 m² un ensemble unique constitué grâce aux dons et dépôts de l’artiste. La nouvelle aile du musée, conçue comme un « écrin de lumière » a été spécialement dessinée pour y présenter ses grands formats. Elle offre des conditions idéales pour admirer l’œuvre de l’artiste : certains polyptyques suspendus à l’aide de câbles semblent flotter dans l’espace, tandis que le mur de verre filtre la lumière permettant un dialogue subtil entre la lumière du midi et la surface des Outrenoirs.

Les parcours lumineux du musée Fabre

Certes, l’article date un peu mais il donne une idée de la diversité de ce Grand musée!

https://www.lesechos.fr/2007/02/les-parcours-lumineux-du-musee-fabre-521589

Montpellier est un bon exemple de la façon dont une vieille institution peut retrouver fierté et dynamisme. Georges Frêche, inépuisable entrepreneur et président de la Communauté d’agglomération de Montpellier, laquelle a financé 75 % du coût total de l’opération, estimé à 62 millions d’euros, ne peut que s’en féliciter. Mais au-delà de l’investissement, c’est la stratégie qui compte. La bonne idée est d’avoir su rallier au projet deux artistes contemporains majeurs : Daniel Buren, qui réinvente l’entrée du musée depuis l’esplanade Charles-de-Gaulle, et Pierre Soulages, qui effectue une donation de vingt tableaux, pour lesquels est conçu un espace spécifique. Le pari est aussi de conduire une réhabilitation-extension complète qui apporte souffle et cohérence au musée en lui permettant à la fois d’étendre ses collections et de mieux accueillir le public.

Composé de bâtiments de différentes époques et de cinq cours enchâssées dans la ville, le vieux musée Fabre manquait par trop de lisibilité. Le projet mené conjointement par l’agence Brochet-Lajus-Pueyo de Bordeaux et l’atelier Nebout de Montpellier lui redonne une unité au travers d’un parcours fluide guidé par la lumière et respectueux de l’identité de chacun des bâtiments.
Clef du projet, la position du nouveau hall creusé sous la cour Bazille permet de différencier clairement les parcours. En amont se déploient les espaces en libre accès : la boutique et le centre de documentation ainsi que l’auditorium, le restaurant et l’espace Médiation, organisés autour de la cour Vien. En aval, deux options sont proposées : soit la visite de la collection permanente amorcée à partir d’un vaste atrium sous verrière, soit l’accès direct à la grande salle d’expositions temporaires creusée sous la cour Bourdon, de plain-pied avec le hall.

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La collection permanente s’organise ainsi au fil des bâtiments existants, depuis l’hôtel de Massilian, enclave historique du musée fortement remaniée au XIXe siècle, jusqu’à l’ancien collège de jésuites datant du XVIIe siècle. Tout au long de cette boucle historique, le travail des architectes a consisté à restituer les volumes et les ambiances d’origine, en particulier dans la suite magistrale de la salle du Jeu de paume, la salle des Griffons et la salle des Colonnes, mais aussi dans les anciens appartements des Fabre, reconquis pour l’occasion. Au-delà de la restitution, la gageure a été de mettre en place les chaînons manquants pour fédérer le parcours, par exemple avec la création de trois nouvelles salles dans l’ancienne bibliothèque. Respectueuse du bâti, l’intervention l’est tout autant des oeuvres avec un parti pris de discrétion dans les prescriptions, optant notamment pour une résine gris mat au sol et des parois ton sur ton. « Nous avons choisi de faire disparaître les murs avec une dématérialisation sol-paroi-plafond, tous du même ton gris clair. Les oeuvres apparaissent accrochées de la manière la plus élégante, comme en lévitation. L’espace est révélé par la lumière, vrai fil conducteur du musée », commente Emmanuel Nebout.
Un cocon de verre et de béton
L’objectif est d’obtenir des ambiances continues, avec une diffusion égale de la lumière naturelle et de la lumière artificielle. Selon les configurations des salles, plusieurs dispositifs ont été mis en oeuvre : plaques de verre diffusantes, puits de lumière, rails suspendus… Parmi les plus réussies, la salle Courbet campe sous un immense puits de lumière qui fait quasiment disparaître le plafond : « Une sorte d’abat-jour hypertrophié permet une diffusion le plus naturelle possible », note Emmanuel Nebout.
Au fur et à mesure, tous les bâtiments sont mis en relation. Les différentes séquences sont reliées entre elles par des passages bien identifiés, entièrement habillés de bois sombre de wengué, qui accueillent les circulations verticales, les aires de détente ou les espaces multimédias. « Ces scansions apportent des repères à petite échelle dans le dispositif. Elles sont conçues à l’image de mobilier tels des seuils ou des coins en bois », fait valoir Olivier Brochet.

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La collection trouve ses aises dans les nouveaux espaces, avec des surfaces d’exposition plus que doublées. Point d’orgue du parcours, l’aile contemporaine, dédiée aux oeuvres de Soulages, se dresse au fond de la cour Bourdon, sous laquelle est logée la salle d’exposition temporaire. L’équerre bâtie ainsi constituée en regard du pignon de l’église Notre-Dame-des-Tables se distingue par son traitement contemporain radical, entre minimalisme et abstraction. Le sol de la cour est composé de bandes alternées de marbre de Carrare et de lés de verre qui dessinent un parterre parfaitement réglé. La paroi du bâtiment créé prend la forme d’un mur de lumière. « Nous avons travaillé le thème de la lumière jusqu’à faire disparaître le mur », explique Emmanuel Nebout.
Laiteuse de jour et irradiante la nuit, la présence magique de cette cimaise grandeur nature est en réalité due à une double paroi de verre assujettie à une charpente métallique parcourue de tubes fluorescents. A l’extérieur, des plaques de différentes dimensions en verre « bullé » créent un grand motif en relief. A l’intérieur, des panneaux réglés en verre extraclair procurent un effet de calque aux nuances changeantes. Pierre Soulages, qui avoue avoir eu quelques doutes au départ, a laissé faire les architectes et s’estime aujourd’hui très satisfait. Ses grands tableaux noirs suspendus au plafond trouvent leur place exacte dans ce cocon de verre et de béton calibré sur mesure. Tenu de A à Z dans ses parties historiques comme dans son extension contemporaine, le musée Fabre met ainsi l’architecture en sourdine pour prendre le parti des oeuvres.

FLORENCE ACCORSI