bonjour Monsieur TRENET!

Visite de la maison natale du fou chantant à Narbonne

«Mes autres maisons m’appartiennent, mais j’appartiens à celle de Narbonne», disait Charles Trenet. Édifiée à la fin du XIXe siècle par ses grands-parents maternels, cette demeure à deux étages restera toute sa vie un refuge. Il y était né – le dimanche 18 mai 1913 à 15 heures – et l’avait chantée en 1935 (Maman, ne vends pas la maison). En 1994, il la cède à la Ville, puis, en 2000, inaugure lui-même l’ouverture au public de son univers familier, agrémenté de vidéos et de bandes sonores. Grâce à un karaoké de six titres, installé dans sa chambre, les visiteurs peuvent même chanter. De l’autre côté de l’avenue (rebaptisée à son nom de son vivant), se trouvait autrefois la tonnellerie de son grand-père, dont la porte du garage deviendra célèbre… 

Le succès de La Mer en a fait un hymne universel pour toutes celles du globe. Mais les rivages qui l’ont inspiré sont ici: la Méditerranée («Bergère d’azur») et les lagunes du delta de l’Aude («Voyez, près des étangs…») en symbiose au pied des massifs viticoles de la Clape, des Corbières et du Minervois. Ce petit territoire aux 50 km de côte est un étonnant patchwork de vignes, de garrigue et d’eau, semé de villages tout simples et ourlé de sable blond. Des «routes enchantées» s’y promènent entre les étangs: de Port-la-Nouvelle à Bages, via Sigean et Peyriac-de-Mer, puis jusqu’à «Gruissan mes amours» (1981), lové autour de sa tour de Barberousse: Trenet en raffolait. Ses plages préférées (intactes) se déroulent à La Franquie, modeste station balnéaire du début du XXe (la belle-famille d’Henry de Monfreid la créa) et à Leucate-Plage, où l’unique falaise du littoral offre un point de vue hors pair sur les fameux «golfes clairs».

https://www.lefigaro.fr/voyages/2013/06/05/30003-20130605ARTFIG00260-narbonne-sur-un-air-de-charles-trenet.php

Château de Montauban – Musée Alphonse Daudet

Cette demeure célébrée dans la préface des “Lettres de mon Moulin”, fut avant tout un lieu de calme et de repos pour Alphonse Daudet : “Maison bénie, que de fois je suis venu là, me reprendre à la nature, me guérir de Paris et de ses fièvres…”. Cette superbe bâtisse à façade à pignon de la fin du XVIIIe était la demeure de la famille Ambroy qui accueillit l’auteur lors de ses séjours en Provence.

Daudet y fît des séjours réguliers avec son épouse Julia à partir de 1863, sur invitation de ses cousins. De nos jours, ce lieu est ouvert au public individuel en saison estivale et toute l’année pour les groupes sur réservation. L’exposition “Fontvieille en Histoires” présente les thèmes des traditions provençales et plus particulièrement de Fontvieille. Le lieu en lui-même, relate du riche patrimoine historique de notre village (comme en témoignent de nombreux monuments antiques et médiévaux).

La première salle rend honneur à Alphonse Daudet dont les séjours fontvieillois lui évoque cette “maison bénie” où il fut si bien accueilli. La seconde salle est consacrée à Léo Lelée (peintre des Arlésiennes) et au costume provençal qu’il a tant participé à mettre en valeur au début du XXème siècle. Les interprétations plus récentes du costume viendront étayer le modèle classique de Lelée. La troisième salle est dédiée à la course camarguaise et porte le nom du célèbre raseteur Manolo Falomir. La quatrième salle présente une crèche provençale et les oeuvres des santonniers fontvieillois. Depuis 2012, le musée Alphonse Daudet est présenté au sein du château à travers les oeuvres majeures de l’écrivain et les traductions de son livre mondialement connu “Les Lettres de mon Moulin”. Une boutique vous propose des livres de l’auteur ainsi que des santons Arterra représentant les personnages les plus célèbres de ses livres. Vous pourrez aussi vous procurer la médaille souvenir (modèle de 2006) de la Monnaie de Paris. Le château de Montauban est ouvert en saison pour les individuels et pour toute l’année sur réservation pour les groupes en visite guidée.

un avant gout de l’été!

Eric Garcin possède la dernière distillerie de lavande et d’huiles essentielles des Bouches-du-Rhône : le moulin Saint-Vincent. Chaque été, au mois d’août, la distillerie artisanale se visite. Suivez la bonne odeur de lavande et découvrez avec nous ce savoir-faire des plus rares !

La culture de la lavande

Le moulin Saint-Vincent se trouve à l’entrée de Jouques. La jolie commune se situe au croisement des Bouches-du-Rhône avec nos voisins du Var, du Vaucluse et pas très loin, les Alpes-de-Haute-Provence. C’est une localisation idéale pour la culture de la lavande : être un peu en altitude et avoir des nuits fraîches. On pourrait croire qu’il y a de la lavande partout en Provence mais malheureusement, elle est très rare dans notre département. Autrefois, de nombreux champs étaient cultivés dans les Bouches-du-Rhône mais l’exode rurale a fait que les agriculteurs ont abandonné leurs terres. Eric Garcin est le dernier distillateur d’huiles essentielles. Il cultive de la lavande fine mais aussi plusieurs types de lavandins.

La récolte

Nous rejoignons Eric dans un champ de lavandin, près de sa distillerie. Le bourdonnement des abeilles concurrence le bruit de la machine à récolter. Les jolis papillons blancs passent de brins en brins de lavandins. Eric s’est récemment équipé d’une nouvelle machine qui permet de ne récolter que les fleurs de lavande/lavandin, ou presque. Il a été l’un des derniers à récolter « à l’ancienne » mais cette machine lui permet de couper 3 fois moins de tiges et de ne garder que le meilleur de la plante pour la distiller ensuite. Hop, le tout dans le camion, et on retourne à la distillerie !

La distillation

On verse le tout dans la cuve. Eric tasse avec ses pieds puis ferme la cuve. La vapeur d’eau, sous la cuve, traverse le végétal et se charge d’huile essentielle. En 30mn, on peut récupérer au sommet de la cuve le mélange d’eau et d’huile. C’est dirigé vers le refroidisseur. Chaque cuve a son refroidisseur et son essencier, un vase florentin à 2 compartiments où l’eau et l’huile se séparent. L’eau est jetée (mais elle peut aussi être vendue en tant qu’eau florale) pour ne garder que l’huile essentielle. Le processus est le même pour chaque plante sauf que la durée de cuisson est différente. Par exemple, pour extraire de l’huile essentielle d’immortelle, il faudra compter 1h. Mmmh, ça sent tellement bon !

https://www.myprovence.fr/article/distillerie-jouques

La ville entourée d’eau, Port Saint-Louis du Rhône

Entrée récemment dans le Parc naturel régional de Camargue, idéalement située à l’embouchure du grand Rhône, entre terre et mer, la ville de Port Saint Louis est une des trois portes d’entée de la Camargue sauvage. Ouverte sur la Méditerranée, frappée par les vents, Port Saint Louis du Rhône affirme sa tradition maritime avec pécheurs et marins de tous horizons. Depuis de nombreuses années, la plaisance et la nautisme sont en plein essor et accueillent des navigateurs de tous pays. Par ailleurs, les aménagements du littoral et notamment sur la plage Napoléon lui permettent de se faire un nom au niveau des sports de glisse et d’eau. Site idéal pour les sports nautiques, la ville propose une large gamme d’activités comme le kite-surf, le fun-board, la planche à voile ou le catamaran. Port Louis s’illustre aussi à travers d’autres richesses comme sa tour Saint Louis et sa collection ornithologique où vous pourrez admirer la plus grande collection d’oiseaux naturalisés de Camargue.

  • La maison et les entrepôts Bonnardel

Construits par la Compagnie générale de navigation dans les années 1880, les entrepôts accueillent une maison d’habitation, des ateliers de réparation navale, des ateliers de ferronnerie, des bureaux pour les compagnies fluviales et des magasins. Aujourd’hui privés, les bâtiments appartiennent à l’inventaire général du patrimoine culturel et sont la preuve concrète de l’essor qu’a connu la ville avec la construction du Canal Saint-Louis.

  • La conserverie Ferrigno

Entreprise familiale de pêche en Méditerranée depuis 3 générations, c’est la seule conserverie française de poissons de la façade méditerranéenne. (Visites guidées organisées en juillet et août, voir l’Office de Tourisme).

  • Les ports à sec Navy Services et Napoléon

La ville de Port-Saint-Louis-du-Rhône compte 6 ports. Les 2 ports à sec offrent un total de 3200 places à sec en fonction de la taille des bateaux et plus de 200 anneaux de mouillage pour les visiteurs. Port-Saint-Louis-du-Rhône est située entre la Corse et les Baléares, c’est un point de départ idéal. L’embouchure du Rhône est une véritable porte vers l’Europe du Nord

petite histoire du savon de Marseille

LA NAISSANCE DU SAVON DE MARSEILLE

L’histoire du savon de Marseille, de la ville de Marseille et de la savonnerie Fer à Cheval sont étroitement liées et ont évolué ensemble.

Les origines du savon remonte aux égyptiens. Ils décrivaient des recettes de savon sur leurs fameux papyrus. En Europe, les Gaulois étaient apparemment les premiers à fabriquer intentionnellement du savon partant du suif de chèvre et de la potasse de cendres de hêtre. Mais le concept du savon était déjà présent 2000 ans av.JC sur des tablettes d’argile écrites en Sumérien qui mentionnaient l’utilisation d’une sorte de « pâte de savon » pour préparer la laine avant teinture en Mésopotamie.

Les premiers savons remontent certainement aux égyptiens et l’invention du savon dur est attribuée aux gaulois. Cependant c’est dans le bassin méditerranéen que va très rapidement se développer la fabrication du savon. En effet, la Syrie voit naître le fameux savon d’Alep composé d’huile d’olive et d’huile de baies de laurier, de sel, de soude et d’eau. Lors des croisades, le savon d’Alep, l’ancêtre du savon de Marseille, arrive sur les côtes marseillaises : le savon de Marseille est né.

EDIT DE COLBERT DE 1688

C’est à partir du XIIème siècle que les premières savonneries apparaissent tout d’abord sur Toulon puis sur Marseille. Au XVIe et XVIIe siècle, l’industrie se développe et s’organise grâce notamment à l’Edit de Colbert qui en 1688, réglemente la fabrication du savon de Marseille et protège les savonneries Marseillaises au détriment des Toulonnaises. L’édit de Colbert portait également sur les matières premières à utiliser. Il met en avant les matières premières locales : l’huile d’olive pure provenant de Provence ainsi que le sel et la soude directement acheminés de Camargue. Colbert interdit formellement l’utilisation de suif (graisse animale).

En effet, l’utilisation du suif compromet la qualité du savon et abîme le linge. Or le savon de Marseille était essentiellement utilisé par les blanchisseuses et lavandières de métier pour la blanchisserie.

Avec les premières colonies, et la rareté préoccupante de l’huile d’olive, les savonneries se tournent vers le commerce d’autres huiles et notamment l’huile de palme et l’huile de coco. Ces huiles produisent un savon de Marseille de couleur blanche ou beige.  Ce savon, de meilleure qualité, permet le lavage d’étoffes fragiles.

L’ÂGE D’OR DU SAVON DE MARSEILLE

Puis vient l’âge d’or du Savon de Marseille.

Du milieu du 19ème siècle jusqu’à la seconde guerre mondiale, les savonneries marseillaises se multiplient. Il existe plus d’une centaine de savonnerie à Marseille. Elles sont puissantes et souvent détenues par de grandes familles marseillaises. Environ 30% de la population travaillait directement ou indirectement grâce à cette industrie. Le savon de Marseille, reconnu à l’international pour son efficacité, est exporté dans le monde entier et notamment vers nos colonies.

C’est en 1906 qu’est définie la mention « Extra pur 72% d’huiles » qui servait de gage de qualité. En effet, ce pourcentage était nécessaire pour éviter les fraudes où la proportion de l’eau pouvait atteindre 50% du savon. Avec un tel niveau d’eau, le savon perdait la moitié de son poids en quelques utilisations.

C’est durant cette période, en 1850, que s’installe dans la campagne marseillaise, une fabrique de bougie. Vers 1856 une partie de l’activité est transformée en savonnerie et l’autre en traitement des glycérines : c’est le début de l’histoire de la savonnerie Fer à Cheval.

LE DÉCLIN DU SAVON DE MARSEILLE

Après la seconde guerre mondiale, la démocratisation de la machine à laver et l’arrivée des poudres à laver va sonner le déclin du savon de Marseille. Les grandes savonneries rachètent les plus petites, puis se font racheter à leurs tours par de grands groupes internationaux. La savonnerie se diversifie dès les années 1930 en fabriquant des poudres de savon (ancêtre des poudres à laver). Grâce à cette activité, elle va réussir à passer ce cap. Jusqu’en 1986, la savonnerie Fer à Cheval fabriquait même la poudre à laver Le Chat.

LA RENAISSANCE DU SAVON DE MARSEILLE

Aujourd’hui, les consommateurs se recentrent sur les produits dits naturels avec peu d’ingrédients ainsi que des ingrédients d’origine naturels. Il est vrai que le savon de Marseille s’inscrit pleinement dans les nouvelles tendances de consommation comme le zéro déchet où l’on s’intéresse à consommer mieux et consommer moins.

A ce jour la savonnerie Fer à Cheval est le plus gros producteur de Savon de Marseille de la région.

La savonnerie s’engage dans la défense du véritable savon de Marseille et du savoir-faire lié au savon de Marseille. Nous avons obtenu le label EPV (Entreprise du Patrimoine Vivant), mais aussi OFG (Origine France Garantie). Nous sommes également cofondateur de l’UPSM (Union Professionnelle du Savon de Marseille). Nous avons d’ailleurs déposé à l’INPI et auprès du gouvernement une demande d’IGP (Identité Géographique Protégée) pour protéger le véritable Savon de Marseille.

Alors, ça vous tente d’aller découvrir ce patrimoine?

merci à la savonnerie du fer à cheval à Marseille https://www.savon-de-marseille.com/fr/content/20-histoire-savon-de-marseille

https://youtu.be/yQd2jpZB29U

Nouveauté : Avignon secrète!

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Avignon, vous connaissez….mais la ville ne se résume pas au palais de Papes – aussi beau soit il! et au pont d’Avignon. La preuve avec ces lieux d’exception, insolites et méconnus que je vous propose de découvrir.

Le parcours prend place dans le vieil Avignon : nous déambulerons dans la célèbre rue des Teinturiers, la rue des Trois Faucons toute rénovée, l’ancien quartier des Corps Saints, la rue des Lices…et bien d’autres choses. La fin du parcours se fera aux Halles.

Durée 2 heures environ

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Le saviez-vous?Ou trouve t-on, en Provence, le seul tableau de VAN GOGH peint durant son sejour en Provence?

Itinéraire touristique : Van Gogh en Provence
Van Gogh en Provence © Droits gérés Musée Angladon – Avignon

https://www.lexpress.fr/diaporama/diapo-photo/tendances/voyage/avignon-en-six-endroits-secrets_911905.html#photo-0

Vous avez trouvé la réponse?…

C’est à Avignon et on le sait peu voire pas du tout donc la prochaine fois arretez vous au musée ANGLADON pour y admirer en autre le tableau “Wagons de chemin de fer à Arles” peint en 1888

La reconstitution du pont d’Avignon en 3 D époustouflant!

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La reconstitution du pont d’Avignon en 3 D a permis de faire de nombreuses découvertes historiques et scientifiques. Une enquête qui a duré quatre ans menée par des historiens, des chercheurs, des archéologues, des géomorphologues et des architectes. Une aventure scientifique unique qui a permis de découvrir la réalité de l’édifice.Pour mener à bien ce projet, une quinzaine de personnes (CNRS, Centre d’archéologie médiévale, universités d’Avignon, Aix-Marseille et Lyon) ont mis leurs compétences en synergie pour aboutir à ce résultat unique, à savoir, découvrir pour la première fois à quoi ressemblait ce site de 920 m de long composé de vingt-deux arches qui reliait d’une part, le Palais des papes et Avignon et d’autre part, la tour Philippe Le Bel à Villeneuve.

Attirer encore plus de touristes

“Il s’agit de deux rives, deux régions et deux départements et un projet interdisciplinaire pour le bonheur de tous”, a souligné Jean-Marc Roubaud, maire de Villeneuve et président du Grand Avignon. “Le résultat nous a bluffés, s’est exclamé pour sa part Cécile Helle, maire d’Avignon. Il magnifie, valorise notre pont qui fait partie de notre patrimoine culturel. Chacun va pouvoir se l’approprier. En complément, ce sentier numérique avec une halte sur la Barthelasse sera un moyen d’attirer encore plus de touristes. Il y en a eu 380 000 l’an dernier sur le pont Saint-Bénezet.”

Photos aériennes avec des drones

Pour ce travail, scientifiques et techniciens ont réalisé des photos aériennes par drones, et des carottages des piles du pont pour savoir de combien de mètres elles étaient réellement espacées. Une opération qui a, au total, coûté 2,4 millions d’euros, co-financée par Le Grand Avignon, les Villes d’Avignon et de Villeneuve, le CNRS, la Compagnie nationale du Rhône, l’Union européenne, la Région Provence-Alpes-Côte-d’Azur.

Six milliards de prise de vue

En tout, six milliards de prises de vues ont été faites, scannées des points les plus hauts, à 360°, permettant de survoler des paysages inédits depuis les tours, les belvédères, les clochers. Grâce aux tablettes et aux smartphones, on pourra par une simple application aller de Saze à Caumont au moyen d’une balade numérique.

Période de glaciation

Ils apprendront ainsi que les travaux du Pont le plus célèbre du monde ont débuté en 1177, qu’il fut détruit en 1226, que la tour Philippe le Bel fut édifiée en 1293, que Louis XIV traversa le pont en 1660 ou encore qu’en 1670, à la suite d’une période de glaciation du Rhône, les phénomènes de crûes ont été violents fragilisant les arches emportées par les eaux.

Le pont d’Avignon, le seul entre Provence et Languedoc

Ils découvriront aussi que l’Ile de la Barthelasse n’existait pas. Quant à la tour Philippe Le Bel, elle contrôlait l’un des carrefours les plus importants du Midi médiéval au cœur d’un système géopolitique complexe né de la Croisade des Albigeois.

Si Le Languedoc est la propriété de Philippe Le Bel, la Provence, elle appartient au roi de Naples, Charles d’Anjou. De fait, à l’époque, le pont d’Avignon est le seul pont entre la Provence et Le Languedoc.

Une chapelle sur le pont

Autre curiosité, enfin, la présence d’une chapelle sur le pont d’Avignon. Selon l’historien Andreas Hartmann-Virnich, “c’est une construction tout à fait originale, sans équivalent en 1770”. Certains pensent naturellement à la protection spirituelle de saint Bénezet ou à l’impact de la présence des papes à Avignon. D’autres encore imaginent un péage. Grâce aux travaux qui vont se poursuivre, la 3D devrait bientôt émettre l’hypothèse la plus plausible.

Belle saison pour Avignon

https://www.laprovence.com/article/edition-vaucluse/5645092/tourisme-au-palais-et-au-pont-une-frequentation-historique.html

Tourisme : au Palais et au Pont, une fréquentation… historique à Avignon

Les deux monuments emblématiques d’Avignon n’avaient pas accueilli autant de visiteurs depuis l’an 2000

Le plus grand palais gothique d’Europe et le pont aux quatre arches, célèbre dans le monde grâce à sa chanson-hymne, sont actuellement lancés dans une dynamique sans précédent en ce qui concerne leur fréquentation respective. Pour preuve, le palais des papes et le pont Saint-Benezet battent depuis le début de l’été leur record historique. L’ancienne demeure des papes, au XIVe siècle, a accueilli 104 656 visiteurs (+16% par rapport à 2018) tandis que 72 432 personnes sont allées vérifier si l’on dansait bien sur le pont d’Avignon (+11 %).

Ce sont les meilleurs résultats jamais enregistrés depuis 2000, qui surpassent le record de fréquentation déjà enregistré au palais des papes en juillet 2015 (98 775 visiteurs) et au pont en 2018 (72 229)” explique-t-on du côté d’Avignon Tourisme, l’organisme gestionnaire des deux monuments.

le moulin d’Alphonse

 

Ecrivain, Auteur dramatique, Poète et Romancier. Il est né a Nîmes le13 mai 1840 et mort à  Paris 16 décembre 1897 (57 ans). Son nom et son oeuvre sont indissociables de la Provence! 

Aujourd’hui arretons nous au célèbre moulin à Fontvieille

Le moulin Saint-Pierre (ou Moulin Ribet), dit moulin de Daudet, a été construit en 1814, c’ est le moulin à vent le plus connu de Fontvieille. Contrairement à la légende locale, Daudet ne l’a jamais habité, c’est au château de Montauban chez les Ambroy qu’il réside, mais ce moulin l’aurait inspiré pour écrire « Le secret de Maître Cornille », l’une des nouvelles du recueil Les Lettres de mon moulin publié en 1869.

«Tout autour du village, les collines étaient couvertes de moulins à vent. De droite et de gauche, on ne voyait que des ailes qui viraient au mistral par-dessus les pins.»
Si Alphonse Daudet quitta son Paris «sale et noir» pour les marches du perron
du moulin de Fontvieille, c’est que la vue devait en valoir la peine. Le Sud
et son mistral ont un jour compté des moulins par centaines. Aujourd’hui, peu
d’entre eux ont encore l’allure de s’appeler «moulin » et encore moins d’entre eux sont actifs. Celui de Fontvieille, le moulin des «Lettres de mon moulin» est ouvert à la visite.

En 1915. c’est la fin de l’activité du moulin, l’un des derniers à avoir cessé de tourner.

Alphonse Daudet n’ y a jamais habité mais il l’a décrit :

« Une ruine ce moulin ; un débris croulant de pierres et de vieilles planches, qu’on n’avait pas mis au vent depuis des années et qui gisait, inutile comme un poète, alors que tout autour sur la côte la meunerie prospérait et virait à toutes ailes ».

« Toute mon œuvre est là » confie Alphonse Daudet à l’un de ses amis à propos de la Provence.

Portrait de Mme Daudet par Renoir

à lire Sur les pas de Alphonse DaudetClaude Karkel. Editions Campanile.

https://www.h8-collection.com/h8-journal/Echappee.Vol.02.pdf

pour Winthrop University souvenirs d’excursions avec leurs étudiants!

Journée à Nimes, au Pont du GARD et Avignon in English, of course!

le Pont du Gard

“Carol (my French sister):
Thank you for again providing me and our Winthrop group a wonderful two days of learning and fun.
You are a very talented guide and host. Your ability to interact with others and meet their needs is impressive. I am sure that you go home each night exhausted from your days work. “

Prendre un peu de hauteur et savourer du vin (avec moderation!)

Souvenirs, souvenirs….

Découverte guidée de Montpellier avec un accès privilègié au sommet de l’arc de triomphe et recompense dégustation de vins et un panorama à 360°.
Demandez moi le programme