On s’oxygene!Balade virtuelle au coeur de la vallée des Baux de Provence

 Le Massif des Alpilles est le prolongement géoloqique des Alpes dont il tire son nom et du Luberon. Cette chaîne calcaire se trouve placée entre les villes d’Arles, Avignon et Salon de Provence. Petites dans leurs dimensions, les Alpilles s’étendent sur environ 40 kilomètres de long, entre Rhône et Durance, dominant la Crau et les plaines Rhodaniennes.

Composé de pelouses, garrigues, forêts, falaises, marais, cultures… le Massif est doté d’une faune et d’une flore riches – Il abrite en effet 960 espèces végétales, 90 espèces d’oiseaux, 19 espèces de chauves-souris, plusieurs centaines d’espèces d’insectes. Au fil des promenades peut-être aurez-vous la chance de croiser l’Aigle de Bonelli, un vautour percnoptère, ou un Minioptéré de Schreibers…

Depuis des millenaires, agriculteurs, bergers, et forestiers exploitent le massif constituant un écosystème unique et très minutieusement équilibré. Le paysage est formé en piémont de vignes et de vergers, de cultures maraîchères, séparées par des haies de cyprès. (Au sud prédominance de l’olivier.) Lorsque l’on se dirige vers les crêtes, on découvre les forêts de chêne vert et les grappes de pin d’Alep, et parfois de cèdre, au fil de l’altitude, les garrigues touffues parsemées de bottes d’asperges sauvages et de chênes kermès aux feuilles piquantes, puis “les pelouses”  à thym et à romarin de la ligne des crêtes.

Les Alpilles, comme tout espace aturel, sont un véritable lieu de vie. En ce sens, elles nécessitent de la part des visiteurs, une attitude et une attention vigilantes. Chacun est invité, avec toute la délicatesse et le respect que mérite chaque lieu d’habitation, avec plus de précautions, quand il s’agit d’un espace naturel inscrit dans la culture quotidienne et l’affectif de chaque habitant de ce très beau pays de Provence.

Le territoire des Alpilles est une entité paysagère à part. L’empreinte de l’homme, à travers l’histoire et ses actuelles activités sur ce territoire, est omniprésente et a façonné ce paysage au fil des siècles. En effet, le massif des Alpilles est caractérisé par une agriculture traditionnelle et diversifiée, vivante, principale ressource économique de ce territoire avec le tourisme. Elle est une des composantes essentielles du paysage des Alpilles, et le façonne au fil des saisons et des années.

en savoir plus : https://www.franceculture.fr/emissions/ne-parle-pas-la-bouche-pleine/des-moulins-du-coeur-de-la-provence-mets-de-lhuile

La terre est bleue comme un champ de lavandes! nouveauté Eté 2018

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« La lavande est l’âme de la Provence ».  Jean Giono qualifiait 

Fermez les yeux, respirez… Vous êtes en Provence….RESPIREZ

C’est au coeur de l’été, de la mi juin à la mi juillet environ , qu’on  voit onduler ces champs de lavandes comme une prairie bleue. Alors soyez prêt ! et surtout n’oubliez pas votre appareil photo!

Attention : La saison est assez courte, donc l’idéal serait de visiter la Provence la dernière semaine de juin et les deux premières de Juillet, ceci pour les champs situés vers Valensole et dans la région du Luberon, Sault.

Visite de Gordesvillage perché du Luberon classé parmi les « plus beaux villages de France ». Nous nous arrêterons à l’Abbaye Notre Dame de Sénanque pour un arrêt photos au milieu des champs de lavande.

La route de la lavande nous conduira à Sault, la capitale de la lavande. C’est un petit village situé à 776 mètres d’altitude, surplombant un plateau de lavandes fines. Vous pourrez admirer de sublimes paysages composés de céréaleslavandeslavandins et autres plantes aromatiques depuis le belvédère.

 Plusieurs arrêts photos seront effectués durant le tour.

Au départ d’Aix en Provence, d’Avignon et Nimes.

Autres villes de départ me consulter

 

 

Jour de marché dans le Luberon

Par des routes de campagne au pied du Luberon, arrivée à l’Isle sur La Sorgue. Temps libre au marché provençal et aux antiquaires le long des canaux de la « Venise Comtadine ».

Temps libre pour déjeuner dans le pittoresque village de Gordes. Arrêt photo à l’abbaye de Sénanque (champs de lavande en fleur seulement de mi-juin à mi-juillet). Continuation en direction du village de Roussillon : vous serez surpris par les vives couleurs de ses falaises d’ocre et des façades des maisons. Sur le trajet pour Bonnieux, admirez le pont Julien, édifice romain. Temps libre à Bonnieux,village provençal dominé par son église du XIIème siècle entourée de cèdres centenaires. Retour par la pittoresque et sauvage Combe de Lourmarin. Arrêt photo à Lourmarin, l’un des plus beaux villages de France, connu pour son château Renaissance.

Mardi : Marché à Gordes

Vendredi : Marché à Bonnieux

Dimanche : Marché à Isle sur la Sorgue

Sur le toit du Luberon

Une randonnée qui vous fera grimper jusqu’au Mourre-Nègre, à 1125 m d’altitude pour une vue panoramique à 360° : à l’est, le plateau de Valensole, les gorges du Verdon, au sud, la Sainte-Victoire, les Monts Auréliens, la Sainte-Baume, le massif de l’étoile, à l’ouest, le Petit Luberon, les Alpilles, la vallée du Rhône, au nord, le mont Ventoux, les monts de Vaucluse, la montagne de Lure. Pique-nique au sommet avant de redescendre à votre rythme sur le village.

Au départ de Cucuron ou de Vaugines, vous découvrirez  la végétation de ce massif. Au départ, des pins parasols typiques du climat méditerranéen vous encadreront pour laisser place au sommet, à des pins noirs et des pins des Landes d’altitude.
Pour un souvenir inoubliable, en été , préférez la montée en soirée pour admirer du sommet le coucher du soleil et redescendre à la tombée de la nuit.

Balade littéraire : Jean GIONO

“Le soleil n’est jamais si beau qu’un jour où l’on se met en route”
Jean Giono, Les Grands Chemins.

Découvrir les paysages sauvages de la Haute-Provence et du Dauphiné, pénétrer la sensibilité et l’œuvre d’un écrivain nourri du pays natal, tels sont les objectifs de ces balades littéraires.

Les itinéraires choisis sont l’occasion de parcourir les sites qui ont marqué Jean Giono, où il a séjourné et fréquenté paysans et bergers. Au cours des balades, des pauses sont mises à profit pour lire des textes de l’auteur et évoquer sa vie et son œuvre. On découvre en serpentant au milieu des oliviers et des amandiers en fleurs actuellement, les paysages que Giono découvrait chaque dimanche, comme s’il était à Delphes : le Luberon, la Durance, les Alpes, les olives dont il était fou et gourmand, qu’il aimait ramasser (pas cueillir) à la main, avec joie; et les martinets qui quittaient les génoises de la ville, telles « des poussières d’avoine sur les bassins » venant les frôler, son père et lui, alors qu’ils se repaissaient de ce spectacle fantastique. […]

Vous souhaitez découvrir un peu plus de la vie intime de Giono, rendez vous à Manosque: https://lesudmakesmehappy.com/wp-admin/post.php?post=2312&action=edit